PHOTOS - Incarcérations - Matraques 2.

Aujourd'hui, nous allons étudier un usage plus approfondi de la matraque...
Un jeune prévenu est en train de croupir dans sa cage et un flic vient le contempler en silence. Jusque là, tout est à presque réglementaire...

Les choses vont pourtant vite prendre un cours beaucoup moins sympathique pour le prisonnier. Le jeune policier le regarde se déshabiller entièrement en ricanant : première humiliation. Et bien entendu, pour continuer, un toucher rectal. Classique : le jeune mec tout nu, menotté et penché en avant, obligé de forcé d'écarter les jambes pendant que le mec en uniforme inspecte son anus et y enfonce ses doigts gantés...

Très appuyé le toucher rectal ! Et vraiment humiliante, cette façon de tester la rondelle du jeune mâle au poings serrés.

Le flic continue son inspection et ne se gêne pas pour tripoter à sa guise le jeune mec nu qui beugle pendant qu'on lui arrache le sexe et lui triture les testicules...

Hélas loin d'être calmé, le jeune flic est de plus en plus excité. Il se débarrasse de sa veste d'uniforme, claque la gueule de sa victime à genoux à ses pieds, crache sur son visage et lui explique en beuglant qu'il est là pour le satisfaire.

Le seul moyen d'éviter les coups et les supplices est de retourner sur la table et d'obéir au pervers petit policier... Le détenu s'applique et surmonte son dégoût pour sucer le sexe crade et humide. Il espère sans doute qu'une fois calmé, son tortionnaire le laissera en paix et il s'escrime donc sur le chibre imposant qui coulisse entre ses lèvres.

Le pauvre captif n'a plus qu'un pantalon orange comme vêtement et il aperçoit au loin son gardien allongé sur son lit.A nouveau en rut, manifestement...

Le gardien entièrement nu s'approche de la grille : le détenu comprend vite et recommence à sucer le dard raide du sale policier.

Une pipe très appliquée et pour laquelle il semble que le prisonnier a fait des progrès : on n'insistera jamais assez sur le rôle éducatif de l'incarcération...

Le flic décide alors de parfaire le dressage de son esclave sexuel : châtiment corporel appuyé à coup de fouet d'abord !

Et quand la victime se tord et essaie d'échapper aux lanières qui cinglent son corps nu, les pinces fixées à ses tétons le torturent encore davantage.

Le châtiment continuera jusqu'à ce que le petit mec finisse par bander : une façon de le préparer à sa future vie en cellule, sans doute.

(A suivre...)