PHOTOS - BONDAGE 6 - Suspendus... et suce pendus ?

Ligoter un mec, en lui titillant les zones érogènes et ensuite l'envoyer se balancer dans les airs. Comme un lustre ou un objet de décoration vivant. Ca c'est du chaud et du fantasmatique, hein ?

Ce premier joli mec est bien attaché, baîllonné, les tétons pincés et il attend le moment... de s'envoyer en l'air ? Moulé dans une combinaison de latex, ce second "client" est prisonnier dans un décor assez bandant, je dois dire. Sa tenue noire qui dégage les épaules et laisse les jambes nues est très sexe, mais c'est surtout la tronche furieuse du prisonnier aux chevilles et poignets attachés ensemble, mains crispées et orteils frétillants qui est la plus excitante. Vous avez remarqué ? Un vibro masseur (ou vibro monfrère si vous voulez) est posé sur le ventre du beau gars : y'a plus qu'à jouer !

 

La suite ? Dans un décor cossu et même carrément bourgeois, on découvre un joli mâle tout nu, les couilles rasées, le sexe bien raide et luisant et les cuisses ouvertes. On imagine des mecs confortablement installés dans des fauteuils capitonnés, sirotant des cocktails et savourant le spectacle du prisonnier à poil avant d'aller l'utiliser à leur guise : fouet et cravache, histoire d'animer un peu la scultpture vivante, suce ou traite de sa grosse bite, ouverture de sa rondelle que le ligotage savant laisse totalement libre d'usage...

Le décor joue un rôle non négligable dans les bondages en l'air. Ainsi ce joli mec est d'autant plus excitant qu'il est lui aussi ligoté dans un cadre confortable. Il se balance en se tortillant pendant que ses jolies petites couilles et son sexe pendouillent et il peut même se voir dans un miroir placé derrière lui...

Un salon ou un entrepôt ? Ce second décor est aussi très fantasmatique : on imagine alors le prisonnier traité comme une pièce de boucherie ou une marchandise : prêt à l'usage. Et le dos tatoué du skin head au premier plan est un élément bandant de plus. En effet, c'est pas le tout de faire des jolis noeuds : faut aussi utiliser le joli noeud du batard enrubanné. Comme par exemple lui enfoncer des godes dans le rectum pendant que des spectateur font cercle en ajoutant l'humiliation à l'impuissance totale d'être utilisé en objet sexuel...

 

Le bondage est une forme d'art en fait : ce mec nu est ligoté d'une manière franchement impressionnante, mais superbe : suspendu par le sexe avec une corde frottant sur son anus et perché sur la pointe des pieds sur une paire d'haltères instables ! Ou plus spectulaire encore, le corps dans le vide, ligoté à une échelle ! on y gagne en esthétique, ce qu'on y perd en confort, c'est clair ! Moi ca me fait mal aux couilles ou aux dos de voir ça !

 

Bon, revenons à des considérations moins artistiques, mais plus pratiques : une fois la lope bien attachée et prête à se balancer dans les airs, on peut ensuite la dresser. En lui libérant une jambe et en lui rougissant le cul par exemple, pendant que le prisonnier hurle, se tord, perd l'équilibre et virevolte dans la pièce pour échapper à la correction...

Et aussi, après avoir laissé le captif se balancer et se tortiller, comme un lustre d'un nouveau genre, il est ensuite temps de le faire redescendre. Et d'utiliser alors l'objet sexuel ligoté avec art d'une manière plus... sexuelle ?

(A SUIVRE)