GOTIKUS EN ACTION - MANU le clébard - 27-2-2009 - Cave 2

(suite). Manu est à genoux au milieu du chantier poussiéreux. Et Pierre et moi on le regarde pendant que la belle bête se masturbe en faisant tressauter ses menottes. Le contraste entre le balaise en caleçon déchiré en train de se pincer une tétine et nous deux habillés et debout devant lui est particulièrement excitant. Sans parler bien entendu de l'air buté du molosse obligé sous la menace d'obéir à nos ordres et se tripoter devant nous...

 

Notre viril jouet sexuel s'est relevé et il courbe l'échine, baisse la tête pendant qu'on se marre ostensiblement. Car en effet son boxer montre sur le devant une bosse bien obscène : Manu bande de manière évidente et c'est pour le bi déjà bien humilié une dégradation de plus. Non ? Trouvez pas ?

C'est pas un bavard, le clébard : il réponds par des grognements à nos questions insultantes et les bras ballants, la tête rentrée dans les épaules jette un regard à son slibard distendu puis se redresse en écartant les jambes...

Il est temps de le reprendre en main, de rectifier sa position : j'ordonne mains sur la tête et du coup le chibre raide sur le devant est encore plus visible sous le coton humide. Et le superbe cul musclé de Manu exhibé par la déchirure de son sous-vêtement se crispe, encore écarlate après la correction au ceinturon.

Hum ! Ce parfum mâle de bête... Des aisselles moites que la position découvre monte une odeur animale. Le beau bestiau se dandine en fixant le mur droit devant lui, comme un soldat devant ses supérieurs. Et d'ailleurs, il porte sur lui une arme blanche à l'horizontale, comme un bon petit troufion à l'examen...

A poil, bâtard... On a assez joué avec son slip, je trouve. Et tout en faisant danser les deux paires de menottes fixées à ses poignets, Manu tête basse retire son dernier vêtement. Son érection indécente est retombée, dommage.

Je découvre enfin son sexe : il assorti à son propriétaire. Une bite large, avec un prépuce long et strié de veines. Un gros chibre avec un gland énorme, encore recouvert.

Le téléphone portable a résonné dans le sous sol vide et nous a fait sursauté tous les trois. Et du coup, voir Manu se précipiter tout nu sur son jean et ensuite répondre à sa femme était particulièrement excitant. Lui reprenait son rôle d'hétéro et sa gaule impressionnante retombait complètement : mais Pierre et moi on était encore plus chauds, forcément...

Ne pas lui laisser le temps de se reprendre et le chauffer à nouveau : a peine son téléphone raccroché, j'ai poussé Manu sous l'échelle tâchée de plâtre et lui ai ordonné de se masturber à nouveau. Tête basse, Manu obéis, mais je me doute qu'il va avoir du mal à triquer maintenant : ça doit drôlement se chahuter dans sa caboche... D'autant qu'on le regarde de loin, après avoir posé le plug à ses côtés, histoire de l'humilier encore davantage...

Faut dire que c'est drôlement chaud d'être ainsi rabaissé et traité comme un chien par Pierre, le type dont il rénove la cave et un inconnu pervers. C'est à dire moi... Mais vous m'aviez reconnu sans doute. Manu jette un regard torve en direction du gode sorti de son trou. Torve et presque surpris : ben oui, il l'a même léché, encore chaud de son ventre de mâle.

Pour l'avoir à nouveau à notre botte, je le guide à la voix : Manu se tripote les burnes d'une main tout en se paluchant de l'autre. Et quand je lui ordonne de s'enfoncer un doigt dans le trou du cul, Manu baisse la tête, écarlate et obéis en grimaçant... A sec et sans préparation préalable, c'est clair que c'est pas agréable de se doigter : surtout avec des gros doigts calleux...

Je le laisse un peu se chauffer, puis je le fais se retourner pour nous montrer son cul nu. Hum : superbe croupe, non ? J'en profite aussi pour utiliser enfin les menottes : ce beau mâle à poil mains attachées dans le dos au milieu de cette grande cave en chantier, blanche de plâtre et de poussière est un spectacle drôlement sexe...

C'est pas tout d'avoir un salope virile à dresser et exhiber : faut aussi l'utiliser. Pas de photos : Pierre et moi avions alors d'autres activités en tête. Mais avant de lui donner nos deux bites à sucer, on a commencé à l'humilier encore un peu... La bouche grande ouverte et les yeux luisants de colère et d'excitation à la fois, Manu a dû ramper à genoux pour venir chercher la bite de Pierre : en suppliant de sa grosse voix...

Après lui avoir alternativement ramoné la gueule à la bite et lui avoir fait lécher nos bites et nos couilles, on a pris de nouvelles photos : c'est vrai que le voir avec un sexe d'homme dans la bouche aurait été plus bandant, mais sa tronche virile avec la mâchoire grande ouverte n'était pas si mal.

Manu est immobile et se tord en grimaçant : le sol de ciment est douloureux sous ses genoux, les menottes cisaillent ses poignets et la position qui l'oblige à se cambrer est franchement inconfortable. Mais je veux le remettre à sa place de trou à plaisir. Je lui balance donc une baffe dans la gueule et lui ordonne de rester immobile, la bouche ouverte et langue sortie. Pendant ce temps et après avoir pris une photo, on discute tranquillement, Pierre et moi sans nous occuper de lui. On le nike maintenant ? On lui pisse dessus ? On a un peu faim en fait et il est temps de remonter à l'étage.

Manu est maintenant menotté aux barreaux de l'échelle, immobilisé et obligé de se tenir debout : en attente. Un objet sexuel avec lequel on va jouer après le déjeuner. Avant d'éteindre la lumière et de mettre au maximum le radiateur électrique qui fait déjà régner dans le sous sol une chaleur de four, je jette un dernier regard au bâtard enchaîné dans la cave. La voix de Manu est pitoyable : je dois aller aux toilettes... Mais je ricane : si tu dois te vider tu le fais sous toi. Et du coup, je coupe le radiateur : dans le froid glacial du mois de février, notre prisonnier va avoir du mal à se retenir de pisser. Ou pire... Rendez vous après notre repas... et pour les visiteurs de mon blog après demain...

(A SUIVRE)