PHOTOS - CHAINES & FERS 3 - A genoux et mis aux fers.

Ahhh les hurlements étouffés d'un mec enchaîné... Et le tout rythmé par le crissement de ses fers : ça me trouble. J'ai sans doute une âme de poète, que voulez-vous... Ou pas.

Aujourd'hui on découvre d'abord un joli gars écartelé, le visage dissimulé par un masque de cuir (assez effrayant, je dois dire : comme j'ai une âme de poète, je suis sensible, forcément... et donc trouillard). Ce qui est excitant, c'est d'abord son slip, un peu lâche et flottant (vous voyez : même le calbut est lâche). Et puis la position à genoux avec les bras tendus pas ses liens dans la lumière froide qui tombe d'en haut. C'est joli comme phrasé : c'est clair que je suis poète.

Un mec à genoux, en sous vêtement et enchaîné bras en l'air, c'est bandant. Me demandez pas pourquoi, c'est un axiome à moi : c'est bandant. Et puis c'est tout. Avec un slip rouge orange et des abdos pas possibles, c'est bandant. Et en noir et blanc avec de gros anneaux, un string de cuir verni et une belle gueule : c'est bandant aussi. Na.

  

Je dois dire que la photo suivante et surtout le joli lot qui y figure me chauffe aussi pas mal. D'accord, il n'est pas VRAIMENT à genoux avec les bras en l'air, mais le décor, sa tenue (très minimale sinon mini mâle) et le bonhomme sont très excitants.

Et de dos alors : il n'a pas un cul d'enfer peut-être ? S'il était pieds nus plus au dessus (de très beaux pieds d'ailleurs, une chose rare chez les hommes) ses sandales de petit pâtre (toujours poète hein?) ajoutent à l'excitation et surtout mettent en valeur un fessier tout rond : à croquer. Ou à claquer ? En plus maintenant, il est vraiment à genoux. Avec les mains dans le dos et c'est pas mal aussi...

Je suis pas psychorigide comme bonhomme moi : un mâle tout nu, enchaîné bras dans le dos, ça me chauffe aussi. Surtout s'il a la jolie bouille de ce petit brun en attente dans son cachot dans une position de totale contrainte.

Avec les yeux bandés, c'est bien aussi : surtout si le prisonnier porte autour du cou un énorme collier de métal. On ne voit pas le bas du corps sur cette photo, rien de ce qui va se passer : et pourtant c'est chaud... Trouvez pas que c'est chaud ?

Les chaînes suggèrent l'emprisonnement, mais aussi elle évoquent des souvenirs anciens : moyen âge ou antiquité. Le balaise de la photo suivante semble sorti d'un péplum : décor en technicolor, musculature huilée et bien entendu fers aux poignets et grosses chaînes. Sauf que dans les péplums, les esclaves n'ont pas la bite à l'air. Ce qui est dommage, du reste...

Bon assez joué les poètes et les raffinés : mon esclave suivant n'est pas antique, il n'a pas les bras en l'air. Mais il est à genoux. Et enchaîné par les burnes en l'air, c'est certes moins lyrique, mais quand même drôlement efficace !

Toutes des chaînes ! Enfin pas exactement : car pour être comme ça ligoté par les couilles et obligé de se traîner sur le sol en tirant derrière soi une lourde masse, faut d'abord être un mec (ben oui, forcément) et aussi un mec burné !

Bon, c'est pas tout ça : c'est bien joli d'enchaîner des mâles, mais faut aussi les utiliser pour son propre plaisir. Le plaisir du voyeur en fait partie. Et de fait, voir deux beaux gars réunis l'un à l'autre par leurs chaînes et contraints de s'enculer de force, ben d'abord l'un est à genoux (donc c'est bandant, voir plus haut) et c'est drôlement pervers. Et donc Gotikus : il aime.

(A SUIVRE)

Comments

[Kajirui]

J'adore la position de totale contrainte du petit brun emprisonné nu dans son ergastule. Les poignets menottés haut dans le dos et reliés par une courte chaîne à son collier de fer, les jambes repliées à la manière des orientaux avec ses chevilles enchaînées l'une au-dessus de l'autre et reliées elles aussi par une courte chaîne à son collier d'esclave, tout cela le maintient dans une position inconfortable et certainement douloureuse. En plus, une chaîne allant de son collier au mur lui interdit tout déplacement pour autant qu'il puisse le faire. Je ne détesterais tout de même pas être à sa place...