GOTIKUS EN ACTION - MARTIAL 6 - 26 novembre 2006 - Plan cire au final...

(Suite) Même si je suis bloqué par le petit mec empalé sur mon chibre et en train de prendre un super panard, je me pose des questions : pourquoi Chris mon complice et assistant est-il en train de chercher partout mon briquet ? Il se serait mis à fumer ? Ou alors il va griller les génitoires de Martial, complètement parti, maintenu collé à moi de force, yeux bandés et bâillonné d'un mors ?

J'ai directement éprouvé sa réaction sur ma verge : l'anus du petit mec investi par mon sexe raide s'est contracté quand la première goutte de cire brûlante est tombée sur son téton ! Martial aveuglé depuis son arivée par un bandeau ne pouvait rien voir venir : la sensation a du être particulièrement intense. Un mélange de surprise, un petite douleur rapide, comme une décharge électrique sur cette zone particulièrement sensible et énervée... En plus Chris est un expert : il sait doser. La bougie rouge est haute, pour laisser la cire refroidire un peu durant sa course... Puis elle vient couler plus bas : sur une zone clairement exposée...

Mais si Chris est un pro, c'est aussi un vilain pervers : c'est très impressionnant d'imaginer de la cire chaude sur son gland. Et pourtant, c'est une des sensations les plus incroyables que je connaisse. Beaucoup moins douloureuse que sur la peau du torse ou des cuisses. Je reçois d'ailleurs quelques gouttes brûlantes sur la main pendant que Martial pousse un rugissement quand la cire vient arroser sa verge dressée ! Il est totalement maîtrisé par moi, son anus est investi par mon chibre et pendant ce temps, Chris continue à faire goutter la cire liquide sur son méat : un supplice délicieux en fait et Martial se shoote au poppers, le petit flacon serré dans une de ses mains pendant que tout son corps se tord et tremble. Il grimace et supplie : ça doit drôlement chahuter dans sa tête...

Son téton porte maintenant une marque écarlate : avec de la cire rouge, c'est drôlement impressionnant hein ? Chris effleure le petit mamellon dressé : je sens l'anus de Martial frétiller autour de ma bite raide. Il a beau gueuler, se tordre et supplier, le petit mec prend son pied !

Et sur le gland alors ? Je me doute que certains de mes visiteurs doivent être horrifiés. Et d'autre excités, puis déçus : avec la cire rouge, l'aspect est particulièrement barbare : comme si la bite avait été épluchée et comme si le sexe était sanguinolant. Et pourtant c'est simplement un peu de bougie... Mais Martial qui ne s'attendait vraiment pas à ça et qui planait déjà à mort est totalement survolté. Ne pas oublier qu'il a les yeux bandés et que seules les sensations lui permettent d'appréhender ce qui lui arrive à la queue ! Sa bite couronnée de cire rouge est devenue un animal indépendant qui bouge tout seul, monte et descend, gonflé à bloc...

Martial pousse soudain un hoquet : il se redresse sur la pointe des pieds, secoué de spasmes. Ma bite sors de sa rondelle dilatée et trempée avec un plop obscène. Et le petit mec jambes écartées continue à gémir de plus en plus fort pendant que ses pieds nus se crispent sur le plancher. Mes doigts enfoncés dans sa vulve la sentent bouger et jouir. Chris et moi, on regarde Martial sans comprendre...

Sous le capuchon de cire qui recouvre son gland (effrayant, hein ?), un liquide laiteux est apparu : ben oui ! Martial a éjaculé... Sans se toucher (il ne pouvait pas) et par la simple sensation de la cire venant irradier tout le réseau nerveux de son sexe. Le jeune mec se relève, le corps agité de tremblements : mes doigts caressent son anus trempé et encore ouvert. Sa rondelle continue à pulser, comme si elle réclamait ma bite...

Martial est debout : avec les yeux bandés, il n'a toujours pas conscience de l'endroit où il est, de ce qui l'entoure et de ce qui se passe. Avec une main, il essaie de trouver un point d'appui et ses pieds nus tâtent le sol. Sa bite toujours raide et à l'horinzontale contraste avec son air perdu : très bandant ce sexe érigé marqué de rouge, comme si Chris et moi l'avions scellé... Ben oui : un sceau de cire rouge. J'aurais dù utiliser ma chevalière armoriée pour y apposer mon blason... Car avec son bâillon-mors et la bride accrochée, Martial est toujours mon slave, notre jouet sexuel, juté ou pas juté...

On s'est beaucoup occupé du petit bâtard, mais son rôle est de nous servir. Son caleçon déchiré pend misérablement et avec ses bracelets de cuir autour du cou, des poignets et des chevilles comme seuls fringues alors que Chris et moi sommes toujours habillés, Martial est toujours en "costume" de salope. Je l'oblige donc à se mettre à genoux (sur des coussins : je suis très gentil comme méchant) et après lui avoir retiré son baîllon et pour l'empêcher de parler, je lui enfourne de force mon sexe un peu ensommeillé entre les lèvres. Martial a la tête emprisonnée par mes paluches et il n'a pas le choix : il pompe, écarlate, tout en se tortillant. Il pompe moins bien qu'au début, mais pas si mal quand même : du taff sérieux. Et quand je me retire et arrose sa gueule de longues giclées de foutre brûlant (une sacrée dose, après des saillies à la chaîne et peut-être à cause de mes couilles écrasées, pendant qu'il était empalé sur mon chibre ?) Martial ne bronche pas, ahuri...

  

Le petit mec s'est effondré sur mon lit. Il soupire de plaisir, toujours dans le noir de son bandeau et tripote son sexe en enlevant la cire collée au gland : putain, c'était une bougie ? De la cire ? C'était la première fois : c'était trop bon... Le jeune mec porte ses doigts à son nez : et oui, du foutre. SON foutre : la petite salope a juté sans même se toucher...

Martial ricane, béat : Chris installé à se côtés (vous voyez ses chaussettes) prend une photo : tout en discutant, notre petit bâtard épuisé reprend lentement contact avec la réalité, mais continue à se tripoter. Et je crois que c'est assez visible sur la photo. Les photos sont comme les bites : elles ne mentent pas. Martial s'est remis à bander ! Tsss, une chienne en chaleur. Comme c'est marqué sur son cul...

C'était en 2006. Martial a sans doute découvert les photos envoyées par Chris. Je ne sais pas si le petit provincial lira ce texte, des années plus tard. J'ai en tout cas gardé la photo qui illustrait son profil sur le net. Et c'est vrai qu'en revoyant ce cul somptueux, ça donne assez envie de l'inviter à revenir chez moi... Gotikus a encore des cierges et des flambeaux...

FIN