GOTIKUS EN ACTION - DENIS - 29 novembre 2011 - Trio cho avec Jean le nounours...

Denis est arrivé une demi-heure après Jean : le bear barbu au look bon chic bon genre était déjà chaud... J'avais donné mes ordres par SMS et surtout laissé dans mon entrée de quoi saper notre jouet sexuel d'une manière bandante : un tee shirt, un slip déjà déchiré au niveau de la raie et pour le confort sur le sol un peu frais en cette fin de novembre, des chaussettes de sport. Denis pousse la pote, yeux bandés et il sursaute en réalisant alors que je ne suis pas seul...  Je lui fais mettre les mains sur la tête et Jean se colle à lui (pas désagréable, hein le contact d'un pull en cachemire 8 fils...). Les paluches du mec poilu se plaquent sur les fesses de Denis, les malaxent et tout en lui roulant des pelles écartent le cul pour dévoiler l'anus velu, luisant, obscène dans la raie profonde...

J'ai pris une photo, bien entendu, mais surtout j'ai enfoncé mon mufle dans la raie ainsi exposée. Bouffer un cul présenté comme ça, c'est trop bon : surtout en écoutant au dessus de moi, les deux mecs se sucer les lèvres et Jean investir la bouche de Denis avec sa langue... comme moi, j'entrais la mienne dans son anus...

Denis est maintenant à genoux, le cul cambré et le visage plaqué de force sur la braguette de Jean confortablement installé au milieu des coussins. Denis hume la braguette, puis bien vite les poils et la bite de Jean. J'écoute le gars aux yeux bandés sucer en grognant le sexe d'un mâle qu'il n'a même pas vu, sniffer l'odeur de son pubis et de son corps poilu. Sans bien le réaliser, Denis se cambre et tends sa croupe dans ma direction tout en se branlant à grand bruit et en faisant pendre ses grosses burnes : une bonne salope... Sur la photo, mon gland a l'air d'une empoule lumineuse, mais c'est vrai que je commence à être chaud bouillant, moi...

Le spectacle est particulièrement excitant et je n'ai même pas besoin de me toucher pour avoir la gaule. Jean ferme les yeux, tout au plaisir de se faire pomper à fond de gorge et moi, tranquillement assis dans mon fauteuil, je contemple la raie velue et humide de Denis, obscène par l'ouverture du slip qui l'encadre après avoir été déchirée...

Un cul pareil, ça se savoure : par la vue d'abord. Jean et moi, on se partage la belle bête : chacun son trou. Mais je sais que je ne vais pas résister longtemps : je vais saillir le mâle prosterné devant mon chibre raide. Très raide d'ailleurs et bavant d'excitation comme une bestiole ayant grand faim...

Denis a grogné et a poussé un gémissement sourd : la gueule limée d'un côté et le rectum de l'autre ! Une bite dans la gorge et l'autre dans le cul... Baisé des deux côtés : un classique. Et le spectacle du beau gars à 4 pattes cambrant les fesses tout en pompant à grand bruit et s'astiquant est bien trop chaud pour que je résiste plus longtemps et contrôle mon éjaculation... Plouf : vidange totale et au plus profond du ventre chaud...

Je me suis bien vidé les couilles, y'a pas à dire. Et maintenant, je souffle un peu en regardant Denis sur le dos, la bite raide et les jambes relevées pendant que Jean le sodomise en prenant son temps et son plaisir. Beaucoup moins bourrin que moi, c'est clair et Denis grogne faiblement, concentré sur son plaisir... Les coups de reins lents et profonds du bear poilu font danser son chibre luisant et le nombril de Denis est rempli de mouille ! C'est un trop beau spectacle pour que je résiste plus longtemps à l'envie impérieuse (et perverse) de contempler tout ça de plus près...

Je suis debout sur mon lit avec les deux mecs en dessous de moi... Je m'accroupi sur le visage de Denis : sa langue lèche mes poils et toutes les zones moites : cul, couilles... Je me relève, pas loin de juter à nouveau : Denis toujours pistonné par Jean se masturbe sans pudeur, complètement parti, puis il grogne, se tord, ses pieds nus se crispent : un jet abondant de foutre fait une courbe dans les airs et retombe en pluie sur son ventre, sur ses cuisses et son sexe ! Me bouffer le cul en sentant mon chibre raide et gonflé sur son visage l'a fait partir...

Je me laisse aller à mon tour : sous moi, j'ai la langue avide de Denis, sa bouche ouverte et je l'inonde de sperme comme on pisse. J'ai bien vu où partait mon jus : je prends une photo, mais elle est assez décevant par rapport à la réalité. La belle gueule de Denis était souillée de semence : mais c'est transparent le foutre et puis le cliché est mal cadré, mes poils cachent le front ruisselant du mâle allongé sous moi. Mais bon : j'avais autre chose à faire alors et j'avais les mains poisseuses...

Jean ne disait rien. Puis il grogne, l'oeil brillant : il faut dire que c'est pas trop un truc qui calme de voir ainsi le corps abandonné de Denis toujours investi et bourré luisant de semence. Et son visage détendu, barbouillé de foutre avec un air d'extase...

Ben : voilà ! Le ventre et le torse de Denis sont un plat où le foutre de trois mâles viennent se mélanger. L'odeur forte monte à mes narines : mélange de sperme et de sueur...

On a fait une pause : très méritée. Puis après plusieurs cigarettes et un verre, la libido est remontée en flèche... J'ai pas beaucoup de photo de notre final : une seule en fait et c'est déjà drôlement méritoire... Car on a terminé tous les trois en véritable apothéose. Trois vrais cochons... et qui faisaient en même temps le grand méchant loup... Denis léchait le cul poilu, les couilles et le sexe raide de Jean couché devant lui. Debout dans son dos, j'utilisais son second trou, humide et ouvert, brûlant. Et la pièce résonnait de nos grognements animaux, du bruit de mon pieu bourrant l'anus velu de Denis, de sa bouche investie jusqu'au fond de la gorge... Au final surtout la pièce à résonné : quand on a juté tous les trois en même temps... Denis a léché les poils de Jean, mais pas mon couvre lit souillé par lui et mon parquet inondé de la semence venue de son trou, de son dos et de ses fesses aspergées de sperme. Un parquet rendu franchement glissant...

Ensuite, très étrangement, on avait le regard pétillant, l'air béat. Mais on étaient crevés... Etrangement.

FIN