GOTIKUS EN ACTION - XAVIER 3 - 16 octobre 2006 - Cire et bondage...

(Suite) Après avoir été rempli d'urine pas les deux trous, Xavier toujours attaché pattes en l'air est chaud bouillant. Je laisse d'abord un peu l'entonnoir en place dans son trou dilaté... Pour me branler en regardant son anus se vider sur le sol. Je frotte mon chibre contre ses pieds et attachés et je vois le bâtard se tordre d'excitation, la bouche et le cul crachant ma pisse, le corps trempé et fumant d'urine...

Et bien entendu ensuite j'enfile une capote et je me défoule dans la rondelle ouverte. C'est très bandant de sentir sa propre pisse couler au fur et à mesure qu'on bourre un mec... Xavier pousse des gémissements de plus en plus rapides : mon urine est le lubrifiant de sa sodomie et je sens son anus se crisper jusqu'au moment où la jouissance monte en moi, venue du plus profond des mes burnes. Je me relève donc, retire la capote et j'arrose de mon sperme les pieds nus de ma proie impuissante... Une sacrée jouissance en fait. Et pas terminée, car j'ai encore envie de jouer avec le beau mec déjà bien pris en main...

Xavier a pris une douche et réparé les dégats causés à son home : ça s'imposait un peu faut dire... Il est couché sur son lit et je réalise que des chaînes sont installées aux 4 angles de son plumard. Une découverte qui me chauffe d'emblée ! Xavier a un bandeau sur les yeux : il me laisse d'abord l'attacher en croix, sans réagir. Maintenant qu'il est totalement à ma disposition, je farfouille un peu dans son appartement. Les pinces à linge étaient en place dans la salle de bain, sur une corde au dessus de la baignoire. Elles sont simplement changé de lieu et d'attribution...

Xavier a d'abord sursauté en sentant les dents de plastique mordre sa peau. L'une après l'autre, les pinces à linge sont en place : maintenant, je peux jouer avec, tout en effleurant à peine les tétons. Et Xavier tire sur ses liens en grimaçant : rien de très douloureux pour l'instant, mais la morsure se fait plus forte au moindre mouvement et d'autant plus intense que mon supplicié a les yeux bandés. Forcément...

Je descend maintenant : l'interieur des cuisses, si lisse et sensible. Et bien entendu les couilles et la verge ! Xavier qui commençait à afficher une superbe érection supplie peu à peu. Il faut dire que je suis le gars pervers, mais subtil ! Je fixe deux pinces sous les couilles, à la lisière de l'anus encore sensible et excité. Puis une sur la peau fine de la bite et surtout une autre au niveau du frein, sous le gland. Des zones particulièrement érogènes et surtout dès que Xavier commence à se chauffer d'être ainsi torturé et donc dès qu'il bande, la morsure se fait plus présente...

Je titille les tétons, avec les doigts, les lèvres, les dents puis la langue. Et j'alterne en jouant avec les pinces à linge au hasard : les cuisses, les cotés ou le sexe. Je vois le gland de Xavier mouiller : ce n'est pas une réelle douleur. Plutôt un jeu cérébral. Et surtout terriblement sensuel...

Xavier secoue ses menottes de cuir, se tortille : et ce faisant, il se torture lui même au moindre mouvement. Résultat : il transpire à grosses gouttes. Je connais ses zones érogènes en plus et je les sollicite tour à tour du bout du doigt : le gland, les tétons, ses pieds et même cette partie du haut des cuisses, sans bronzage et d'autant plus indécente. Xavier a cesser de se plaindre et soudain, il me tend ses lèvres. Se faire rouler une pelle profonde pendant que son corps réagis aux impulsions données par les pinces à linge sur sa peau le rend d'un coup incroyablement câlin...

Xavier est maintenant un instrument de musique : il couine, grogne et gémis au fur et à mesure que je fais vibrer les pinces installées sur sa peau. Il se révolte même, se secoue et tente de résister, puis il retombe sur son lit, les jambes et les pieds secoués de frissons, le ventre agité, soudain calmé et docile...

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J'ai joué longtemps comme ça, avec le corps de Xavier, puis j'ai retiré les pinces une à une. J'ai ensuite lentement branlé son sexe en le laissant écartelé : il n'a pas fallu longtemps pour que sa jouissance et son sperme explose par ma main et dans ma main... En fait, ça peut sembler très étrange de l'extérieur : Xavier tout nu était écartelé sur son lit et son corps arrosé de pisse l'instant d'avant était ensuite supplicié avec des pinces à linge une heure durant ! Et pourtant : ben je l'ai fais grimper sur un nuage dans un jeu tout doux et tout sensuel : en fait je lui faisais l'amour, concentré sur son plaisir, ses fantasmes et ses délires bien plus que sur les miens. Ah c'est du joli tiens, de la part d'un méchant tortionnaire et violeur...

FIN