GOTIKUS EN ACTION - DENIS 1 - 13 décembre 2011 - Dans ma cave, pisse et sodo...

Jean allait nous rejoindre plus tard dans l'après midi, mais avant j'avais envie de changer un peu les habitudes entre Denis et moi. Et donc lorsque le gars frappe à ma porte après avoir cherché en vain mes clefs sous mon paillasson, j'ouvre et sans un mot, je lui fais signe de me suivre dans l'escalier. Arrivé au bas des marches, je déverrouille la porte qui conduit à la cave commune (et vétuste) de mon immeuble et nous descendons. La cave est vétuste, voire franchement pourrie...

Arrivé dans le sous-sol, je pousse Denis devant moi le long des couloirs sombres jusqu'à l'endroit que j'ai préparé. C'est le franc hiver, mais il ne fait pas très froid en fait : si vous vous souvenez, le mois de décembre 2011 était même d'une incroyable douceur. Je regarde Denis se déshabiller devant moi... Il est en chaussettes blanches, son jean descend peu à peu et Denis fixe en silence mon sexe raide sorti de mon pantalon. C'est très bandant faut dire, de le voir se foutre à poil dans ce décor crade pendant qu'au dessus de nous on peut entendre les bruits de l'immeuble, des voix et des pas dans l'escalier...

En slip maintenant : un carton posé par moi un peu avant isole ses pieds nus de la poussière de la cave au sol en terre battue (vétuste hein : voire pourrie, j'avais dit). Et le rouge vif de son sous vêtement est d'autant plus sexe dans l'uniformité grisâtre des couloirs crades. Le contraste est excitant et aussi la docilité de Denis courbant la tête et hésitant encore à baisser son slip, le dernier rempart de sa pudeur...

Denis est une sacrée belle bête... Il est penché en avant pour ranger ses pompes. Je n'entends que le bruit de ses pieds moites collant au carton. Et son superbe cul rond et musclé, luisant dans la lumière est mis en valeur par la ligne plus claire de son absence de bronzage. Il me tarde de le voir enfin totalement nu dans ce couloir aux allures de cachot médiéval et je grogne, impatient, pour lui autant que pour moi : à poil...

Je suis immobile. Sans bouger et sans lâcher ma pine (ni mon appareil photo, vous avez remarqué?) je donne des ordres d'une voix grave : je sens l'excitation de Denis d'une manière tangible. Il obéis donc, se retourne cul nu. Une chaise est placée là au milieu du couloir, à son intention : pour qu'il puisse s'appuyer dessus et ainsi mieux se cambrer et m'offrir son cul. Le carton crade fait comme un tapis pour moi et accentue l'indence de sa position de bâtard en attente de saillie. Je rectifie à la voix : Denis serre les fesses... L'envie de lui foutre une fessée et de rougir son fion offert me démange : mais gare au bruit...

Je m'approche un peu : lentement et pour venir d'abord contempler cette croupe de mâle tendue vers moi, ce mec entièrement nu dans ce décor de fin du monde. La marque plus claire sur son cul sans bronzage accentue encore la sensation qu'il est déshabillé et le fait qu'on puisse le surprendre dans cette état et cette posture en plein mois de décembre ajoute encore à l'excitation. J'écarte ses jambes avec mes grosses pompes. Les belles burnes de Denis oscillent : il faut dire que le bâtard est en train de se pogner tout en s'exhibant. Je ne suis pas le seul à bander à mort... Et vous au fait, chers visiteurs ?

Difficile de résister à l'appel de cette raie moite et velue : je suis accroupi et j'ai le nez enfoncé entre ses fesses rondes. Je renifle l'odeur de savon et aussi une fragrance plus mâle et plus forte. Puis ma langue vient farfouiller dans les poils en cherchant la petite pastille plissée au goût plus poivré. Je la trouve et commence à la titiller, puis à la pénétrer avec ma langue. Denis grogne et je sens son cul se cambrer... Je me relève donc après un dernier crachat et pousse mon sexe... J'encules Denis comme ça, debout, pendant que la minuterie nous plonge dans le noir. Après avoir fait la lumière, je m'accroupi à nouveau pour flairer le trou dont sort mon membre...

J'ai bien entendu une gaule d'enfer, mais ma position appuie sur ma vessie gonflée à bloc. L'humidité de la cave commence à faire effet et je vais exploser si je ne pisse pas. Et puis j'ai aussi envie de dresser Denis : je le fais donc reculer, l'installe à 4 pattes devant moi sur le carton. Il se cambre tout en continuant à se masturber : je découvre ainsi en pleine lumière son anus ouvert. Et je vise : direct les grandes eaux ! L'urine ruisselle sur ses grosses couilles, déborde de sa raie pour couler le long d'un de ses flancs et surtout éclabousse son trou dilaté par ma saillie...

Il ne fait pas si froid, mais ma pisse chaude dégage quand même de la buée et le bruit de fontaine de mon jet tombant sur le carton, éclaboussant la croupe tendue et mouillant les poils fait beaucoup de bruit dans le couloir sonore. Dans l'escalier de mon immeuble, j'entends des bruits de pas : drôlement bandant. Mais c'est surtout ce trou poilu et trempé pulsant sous la douche de pisse qui me fascine...

J'ai encore la vessie pleine et je n'en ai pas fini du dressage de Denis. Ce n'est qu'un premier jet (je suis drôle, non?). Comme vous le découvrirez dans deux jours...

(A SUIVRE)