GOTIKUS EN ACTION - DENIS 2 - 5 janvier 2012 - Faut l'oeuf faire...

(suite) Oui, je sais : je suis un pervers... Mais un pervers imaginatif, quand même, non ? J'avais bien aimé le jeu avec du chocolat dans le rectum de Denis aux allure si scato. S'amuser avec la nourriture est transgressif et sensuel à la fois, je trouve. Et l'idée de choquer les visiteurs de mon blog est un piment de plus, je le reconnais...

Après le plan bière, ce jour-là, j'avais très envie de tester autre chose... Denis chaud bouillant n'avait d'abord pas compris ce qui forçait sur son anus humide et dilaté par les saillies précédentes... avant de rentrer d'un coup, comme gobé et avalé par son cul. Je pousse ensuite la sphère blanche dans les tripes de Denis avec ma bite... En limant ce trou de rêve, je sens l'objet rond, ferme et mou à la fois rouler contre mon sexe dans le trou chaud. Denis se masturbe en gémissant de manière sporadique. Et oui ! Un oeuf dur. Sans la coquille, bien entendu... Pas de danger, pas de risques de blessures : au pire l'oeuf sera réduit expulsé plus tard comme un étron, voire réduit en bouillie. Mais pour l'instant, il roule contre mon chibre enfoncé dans le fion de Denis : le principe d'une double sodo, mais en plus profond, sollicitant la prostate et pas seulement l'anus...

Les sensations sont hyper intenses et manifestement vraiment fortes de part et d'autre... De mon côté en tout cas, c'est vraiment géant ! Et c'est une véritable explosion de semence dans le cul de Denis quand je jouis, accompagné par le beuglement de ma monture arrosant mes draps en tressantant des orteils à la nuque... Je contemple sa raie trempée et le jus qui sort et coule sur les grosses burnes de ma monture : un méga pied !

Denis a juté, puis il recommence à bander. Pourtant, il va falloir faire ressortir l'oeuf maintenant, toujours en lui : Denis a envie de se vider les tripes. Je refuse de laisser le beau mec s'isoler aux toilettes : je suis un pervers, n'oubliez pas... Denis est soudain inquiet : tout à son plaisir et abandonné, il ignorait ce que je lui avais introduit dans le rectum. Et il se redresse, serre les fesses : je lui ordonne de pousser au contraire, pour chier l'objet inconnu, mais le pudique mâle barbu a du mal à se lâcher maintenant... Enfin, pudique : il l'est pas toujours, faut bien dire... Disons que là, c'est un peu hard.

Humm : un jet de foutre ! Ou de bière. Ou du blanc d'oeuf ? La rondelle de Denis s'ouvre comme une fleur pendant que le mec grogne et pousse. Il sent quelque chose sortir de son anus et la peur de chier devant moi lui fait serrer les fesses à fond. Et c'est très bandant de le regarder ainsi ne pas oser se laisser aller... Denis ne le sais pas, mais au pire sortira un oeuf écrasé de son trou : un oeuf mimosa parfumé à la bière et au foutre... Rohhh : je suis d'un cochon, moi !

Je l'encourage en caressant un de ses pieds nus et Denis grimace en me jetant un regard mauvais : c'est vrai que c'est un peu humiliant comme contexte. Surtout après l'orgasme. Et d'ailleurs, à ce propos... J'ai décollé comme un dingue il y a à peine quelques minutes. Et Denis aussi. Et je bande à nouveau. Et Denis aussi... Moi, c'est parce ce que suis un grand pervers (hé hé hé) et Denis... parce que l'oeuf enfoncé en lui continue manifestement à titiller les zones érogènes de ses parois rectales. Je l'écoute et le regarde ouvrir son anus : ses pieds nus sont agités de mouvements convulsifs, et soudain Denis pisse du sperme par le cul ! Oui, je sais : c'est pas chic et dégoûtant... Et en plus je prends des photos !

Des fragments d'oeufs tombent peu à peu sur la serviette éponge brune et mon bâtard n'a pas du tout l'air de trouver ça drôle. Il ne réalise pas que sa queue se redresse à chacun de ses gémissement quand il pousse sur ses sphincters. Son anus excité par les saillies - et aussi sans doute par la bière - vibre encore... Et je réalise aussi que de se souvenir qu'il a été ensemencé par un mec et de sentir du sperme sortir de sa chatte de mâle lui file la trique...

Et puis soudain : Denis pousse en beuglant et l'oeuf sort ! Entier en fait et luisant de semence ! C'est quoi ? Je sens au ton de sa voix que Denis est angoissé : et aussi que la sensation a été forte. Sa voix est étranglée et moi j'essaie de cacher mon excitation et mon envie de rigoler. Car on est bien d'accord : un oeuf sortant du cul, c'est pour les poules...

Bon, soyons sobre : je sens bien que Denis n'a pas tellement aimé le final. Humiliant, c'est vrai. Il avance à genoux sur le lit pour regarder la sphère blanche et luisante sortie de son cul : un oeuf ! Il est presque de la taille de ses burnes... Dans l'absolu, j'aurais bien aimer le lui faire bouffer : mais à mon avis, c'est déjà beaucoup comme ça... Un kleenex et hop, je continue à faire le magicien et l'oeuf (nickel en fait et ni écrasé, ni crade) disparaît ! Restons sobre...

On a pris un pot ensuite. Des bières (forcément) et comme je n'avais ni biscuits apéritifs, ni cacahuètes... ben (forcément aussi) des oeufs durs... Et en écaillant le sien, Denis l'a regardé fixement, le regard pensif. Ben oui : avec en plus une bite et roulant dans son cul, on comprends mieux le plaisir et les sensations... Cocorico ! Car c'est aussi une allusion cul-turelle. Vous vous souvenez de ce film des années 70 ? Un scandale ! L'Empire des sens d'Oshima... Oui, je sais : je suis un pervers... Mais un pervers imaginatif, quand même, non ?

FIN