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GOTIKUS - HardGayWorld
24 mars 2012

PHOTOS - DOG TRAINING 5 - Meutes de bâtards...

Un clébard, c'est bien, mais si on veut aller plus loin dans le fantasme (voire se souvenir des concours d'élégances) une meute en laisse, c'est aussi encore plus chaud. Vous en pensez quoi ? Un master debout au premier plan traînant par leurs chaînes-laisses reliées à des colliers une troupe de beau mâles nus et à 4 pattes, obligés de se frotter les uns aux autres et de rouler du cul... Et pour accentuer l'excitation, les bâtards portent des harnais de cuir, et même pour certains des cagoules et des poignets de force... Moi, j'aime ! Car les expressions sont diverses : têtes basses en signe de soumission ou la tête relevée avec un regard mauvais et hostile. Oui, moi j'aime beaucoup...

E1 - Meute

Les photos suivantes sont tirées du célèbre film des Studios Falcon : The Abduction. Trois belles bêtes portant cagoules et harnais sont conduites en laisse par un balaise aux allures de bourreau et armé d'un fouet. Un second dresseur lui aussi foutu comme un dieu et en bottes, harnais, bracelets de force et grosse ceinture de cuir clouté donne son chibre à l'air libre à sucer tout en jouant avec un paddle prêt à claquer les corps nus. Et les deux clébards qui restent se tortillent à 4 pattes et doivent lécher des splendides bottes cirées (avec bien entendu quelqu'un dans les bottes, sinon c'est moins drôle)... Et puis aussi avec de magnifiques culs sans bronzage... On retrouve dans ce simple cliché tout l'atmosphère torride et fantasmatique de The Abduction : un must !

E2 -Falcon Studio - The Abduction

Comment ça  ? The Abduction ne vous parle pas et vous connaissez point ? Oh ! Un sorte de grande usine désaffectée aux allures de caserne est occupée par une sorte d'armée mystérieuse où des beaux mecs sont enrolés de force. Et où surtout des mâles sont emprisonnés, humiliés et dressés par des officiers vicelards. Des officiers dans des costumes bandants où l'on hésite entre des SS, des musiciens de fanfare et des militaires d'opérette... Un film de cul rare : à vrai gros budget, avec des acteurs sublimes, un vrai scénario, de vrais décors, de vrais éclairages et de vrais costumes... Regardez ce beau militaire dans son uniforme noir, contemplant trois mâles prosternés devant lui lui lécher les bottes pendant que deux mecs en cuir juste comme il faut surveillent l'opération : tout un programme, non ?

E3 - Falcon Studios -The Abduction

Et bien entendu même si les photos sont pas terribles (désolé) le fait qu'on ait ainsi une meute de bâtard aux ordres, s'humiliant devant un mec en tenue est déjà terriblement excitant. Les traces de bronzage : rien que ça c'est bien trouvé... Ou le contraste entre les deux dresseurs en botte et (grosses) bites à l'air et l'oficier en cravate. En plus ce sont des bâtard de luxe, ces clebs. Pas de l'avorton ou du chien-chien à sa mémère : du bon molosse bien viril...

E4 - Falcon Studios -The Abduction

Tout ceci rappelle une des scènes de ce momument du glauque qu'est Salo et les 120 jours de Sodome... C'est plus un film porno pour le coup : du cinéma purement artistique et le dernier film de Pasolini (il lui aurait même coûté la vie en 1975, suppose-t-on...). Un chef d'oeuvre et en même temps un des trucs les plus dérangeants et les plus anarchistes et transgressifs qu'on ait jamais réalisé. Malaise assuré ! Par rapport à cette bombe atomique cinématographique, les petites histoires SM du marquis de Sade en deviendraient presque fleur bleue... Vous vous souvenez de cette scène ? Les jolis captifs des quatre déments faschistes sont traités en chiens et conduits tout nus dans les escaliers du palais...

E5 - Salo

Et le pire est là : on est horrifié et en même temps... excité. La démonstration de Pasolini est limpide : les animaux ne sont pas les jolis jeunes humiliés et tenus en laisses... Les animaux sont... les spectateurs ? Et pas les acteurs habillés présents dans l'action, mais bien nous, les spectateurs du film. Nous devenons des voyeurs certes choqués et horrifiés dans la zone du cerveau, mais en fait excités au niveau du bas ventre ! Et donc implicitement complices de la barbarie absolue... Bon : passons...

E6 - Salo

Preuve de la très forte charge libidineuse et fantasmatique de cette scène, on la retrouve traitée de manière simililaire (mais bien moins géniale) dans cette photographie extraite d'un film X... Et finalement, il ne reste que la charge érotique et perverse : au moins on se prend moins la tête et davantage le chibre. Ouf ! On respire...

E7

Le cadre et le décor sont des éléments très fantasmatiques pour un dog training. Ainsi ces deux mecs exhibés à 4 pattes dans la rue, obligés de tenir des postures animales devant la foule. Et le fait qu'ils soient deux et donc qu'ils contemplent leur humiliation en miroir ajoute bien entendu énormément. Sans parler des accessoires : les bâillons boules, les colliers de cuir et aussi le dresseur leur bottant le cul ? C'est du joli accessoire, ça...

E8 - Dans la rue

Plusieurs chiens bien dressés (et bien équipés : pensez aux genouillères sur le bitume quand même, soyez pas vaches...) mis en meute, comme pour être choisis et utilisés par les passants, c'est drôlement chaud non ? Ils sont à poil (ou juste avec des muselières diverses, des casquettes et ce qu'il faut de cuir) et l'un d'eux (mignon du reste) porte même un machin à décharge électrique de vrai dresseur pour chien afin de le motiver à être obéissant...

E9 - Clébards dressés

J'aime aussi beaucoup cette photo, extraite d'un film de chez KinkMen (je réalise que je me la pète très critique intello de Télérama-rubrique-ciné, aujourd'hui. Non ?). Bon, reprenons... Les deux clébards nus ont la tête recouverte d'une cagoule. Et en rampant à l'aveugle, à poil (sauf leurs pompes et leurs têtes portant cagoules), ils vont venir sucer et bouffer l'anus du beau mâle ligoté contre un pillier d'un grand entrepôt désaffecté... Je raconte bien, hein ?

E90

Le meilleur pour la fin ? Car c'est pas tout d'avoir une meute de bâtard : faut aussi s'amuser avec. Comme par exemple les foutre tous nus sur le comptoir d'un bar, à la queue leu leu, attachés les uns aux autres par les poignets et les chevilles et les regarder se flairer et se bouffer le cul, le visage ligoté entre les fesses du clebs de devant. Comme des vrais chiens ? Ben oui : comme des chiennasses. Allez, profitez : c'est ma tournée...

E91

(A SUIVRE)

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