GOTIKUS EN ACTION - DENIS 2 - 24 janvier 2012 - Phix en rut...

(Suite) Après la séance précédente et la saillie brutale de Denis, l'arrivée de Phix était bienvenue... Non pas que je sois vraiment calmé, mais Phix était lui un vrai étalon en rut ! Il faut dire qu'il doit flotter dans mon antre encombré et bien chauffé (on est en janvier) un parfum de baise assez tangible...

Phix boit un verre, puis avec la sensualité qui le caractérise, il lèche les cuisses de Denis. Le beau mec était un peu fatigué par ses deux éjaculations précédentes : le bandeau sur ses yeux le met tout de suite en condition pour mieux s'abandonner. Et ça recommence à chauffer. Et à chauffer vraiment, même ! Je suis assis sur mon fauteuil, bien gentil et bien sage et je regarde les deux mecs s'exhiber devant moi, se léchant les burnes et se suçant la bite dans un 69 sensuel et cochon... Libre...

C'est drôlement excitant de faire le voyeur, comme j'ai déjà dit. Et d'écouter les bruits de déglutitions, les grognements animaux tout en contemplant comme au spectacle deux mâles en chaleur se pompant mutuellement le sexe. Si Denis, les yeux bandés, avale à l'aveugle en bavant sur le membre énorme et bien raide de Phix, le nouvel arrivé n'est pas en reste pour sucer et surtout soulève les grosses burnes de son partenaire pour contempler son anus poisseux et excité, le lécher, le humer... Je vois les pieds nus de Denis se crisper : un doigt vient de commencer à fouailler son rectum ! 

J'ai décidé que Phix serait sur un plan d'égalité et puis aussi je lui fais découvrir quelque chose de nouveau : hop, un bandeau sur les yeux à lui aussi ! Et le résultat est drôlement efficace ! Denis brutalement foutu jambes en l'air se retrouve avec la bouche goulue de Phix plaquée sur sa rondelle déjà dilatée par mes soins ! De sa longue carrière d'hétéro, Phix a gardé une certaine dexterité bucale dans l'art du broutage : sa langue s'enfonce dans la chatte de mec de Denis qui se masturbe en trempant de mouille les poils de son torse, les narines frémissantes, le visage grave concentré et concentré sous son bandeau...

La langue de Denis passe et repasse sur ses lèvres, son gros pieu est maintenant bandé à bloc, collé contre son torse et tout en lui dévorant le trou de balle, Phix grogne et soupire à grands bruits : ce qui ne couvre pas le bruit obscène de sa bouche suçant l'anus de Denis... Je saute sur le lit, derrière Phix et je frotte un peu ma cheville contre ses fesses : yeux bandés, Phix se tortille. Et j'attrape le pied nu de Denis et je donne de grand coups de langue sur la plante du pied : je mordille le talon, puis je remonte tout en léchouillant ses orteils, puis en les suçant l'un après l'autre... Sentir une présence ainsi autour d'eux chauffe encore davantage les deux hommes plongés dans l'obscurité et concentrés sur les sensations et leurs images intérieures...

Phix a trouvé le trou directement : une vulve poilue et trempée. Et en bloquant les panards de Denis pour le maintenir pattes en l'air, le sensuel pistonneur ondule maintenant des reins... Sur le front moite de Denis une gosse veine pulse. : Phix est en train de le faire grimper aux rideaux ! Et c'est d'autant plus bandant que Denis garde toujours son air viril et un peu distant... Je vois seulement ses orteils se crisper puis se détendre, onduler et s'écarter, trempés de bave et c'est la seule partie de son corps réagissant tant Denis est concentré sur le plaisir de sa rondelle !

Denis prend son pied : au sens littéral et aussi figuré. Installé au bout de mon plumard, dans le dos de Phix, je ne vois que ses mains nerveuses qui caresse le corps du mâle en train de le pistonner et ses pieds blokés par les bras du mec qui le pine ! La peau, les bruits et les odeurs : les deux hommes aveuglés n'ont plus que trois sens et leurs bandeaux décuplent les sensations. Soyons honnête et d'ailleurs la photo en témoigne : moi c'est le superbe cul rond et ferme de Phix qui me chauffe alors : bien trop serré, avec une raie profonde mais fermée... J'essaie de glisser un doigt : impraticable... Sinon, l'idée de le prendre pendant qu'il bourre Denis bien comme il faut m'aurait drôlement plu ! Ce cul en plus qu'il a le marteau pineur ! Une vraie croupe de bourrin : c'est vraiment du gâchis de pas l'utiliser...

Pour me consoler, je descend, fait le tour et saute sur le lit, de l'autre côté. Je suis installé au dessus du visage de Denis et je bande comme un âne. Les deux mecs emmanchés l'un dans l'autre et partis dans leur délire ne peuvent pas voir et c'est con : une grosse tige inexploitée comme ça ! L'espace me manque pour donner ma queue à sucer à Denis. Et après un essai bandant mais pas pratique, je me relève : au moins pour prendre la photo... Faut penser à la postérité quand même... J'hésite : pas envie de pisser, sinon j'aurais osé. Et arroser deux mecs de mon foutre ?

J'ai un brin l'impression de faire la mouche du coche... Et c'est Denis accroché à mes chevilles qui laisse soudain monter sa main pour m'attraper par les burnes et me tirer ainsi vers le bas. Et je me retrouve soudain accroupi, puis assis sur sa bouche ! Putain ! Denis a la gueule enfoncée dans mes poils et il hume mon odeur de poilu trempé de sueur tout en léchant ma rondelle à l'aveugle ! Et pendant ce temps Phix a toujours les yeux bandés lui aussi et il a du sentir l'anus de Denis réagir car il beugle de plus en plus fort... Je titille les tétons de Denis pendant qu'il me bouffe le trou et pendant ce temps Phix n'en finit pas de limer le mec pattes en l'air devant lui : vous voyez ce que ça donne ou il vous faut un dessin ? Je me relève, prêt à juter et je regarde le visage luisant de sueur et de bave de Denis... Il dérouille, l'Alsacien !

Denis se tord de plaisir et j'ai presque l'impression d'entendre les spasmes répétés de son anus jouissant à répétition ! Sa grosse pine est raide comme un baton, collée contre ses abdos et dans le prolongement du ventre de Phix, on dirait que c'est le chibre du mâle qui le saute ! Et moi, je fais quoi (mis à part bander et prendre des photos) ? Comme le pied nu de Denis est à hauteur de mon visage, je le suce et le lèche à nouveau : d'où l'expression prendre son pied ? Du reste, je prends le mien : incapable de me retenir (faut dire, quel spectacle !), je lâche mon jus et il éclabousse les deux mecs, mes draps, le plancher... au petit bonheur de l'éjaculation. Pas les Grandes Eaux de Versailles, c'est clair : j'ai déjà juté deux fois. Mais puissante quand même...

Réaction en chaîne ? C'est d'ailleurs marrant car Denis et Phix n'ont rien pu voir, forcément. Ou alors j'ai gueulé très ou trop fort ? En tout cas, Phix jouis dans le trou de Denis et Denis grogne, le corps agité de spasme tout en se branlant de plus en plus vite et fort... Ben, c'est dingue, lui aussi il avait juté deux fois : certes, il a des grosses couilles, le Denis, mais c'est un torrent de foutre qui jaillis de son gros gland et éclabousse jusqu'à son menton... Ouf... J'ai les jambes plus très stables, moi...

Chez moi, c'est un bordel et un bouge... Où flottent odeurs de semence, de sueur et de fluides mélangés... Sans parler de la fumée de nos trois cigarettes... Denis est prostré, l'oeil un peu hagard, dans une position totalement relachée où son anus poisse les draps et tout gaillard à coté de lui, Phix rigole, bavarde, papote, plaisante comme à son habitude. Son bandeau remonté sur sa tête lui donne un air de pacha ou de pirate. Ou de faune ? Car en sirtotant mon verre, mon regard glisse entre ses cuisses : la vache ! Ou le taureau plutôt, soyons précis : Phix bande à nouveau ! Pas Nouvelle France : plutôt Nouvelle Gaule...

Denis a mis des chaussettes, un tee shirt : frigorifié. Ben forcément, après de tels coups de chaud. Et pourtant ce n'est pas le signe que tout est terminé et en plus il est toujours aussi sexy. Je vais dans ma cuisine chercher de quoi grigoter et boire. Et à mon retour ? Après trois minutes ? Denis est en train de se faire doucement et sensuellement branler. Et Phix a les yeux fermés et soupire de plaisir : la bouche de Denis est en train de sucer son chibre encore tout chaud sorti de son cul...

On bois un coup ou on recommence ? Les deux, mon capitaine, mais pas forcément dans cet ordre... En fait, c'est pas un bordel chez moi et j'habite un clapier : une maison pour lapins en rut.

FIN