PHOTOS - NATURE & EXTERIEUR 1 : dressage progressif dehors...

Il commence à faire beau et on sent les montées de sève du printemps ? Ce soleil d'avril donne des envies de sortir, non ? Et donc imaginons des scénarios dans les bois et les forêts : y'a pas de raisons...

Dans les bois, ou dans le désert ? Au moins, on est certain d'y avoir chaud et beau temps... Ainsi, c'est sexe (je trouve) de découvrir un bel explorateur hurlant dans le désert en face d'une énorme chaîne bien lourde et bien rouillée... Bon, je sais : c'est moi le tordu et c'est assez sage comme photo...

La suivante aussi, du reste, est très sage... Mais bon, j'assume vous savez... Mais je trouve ça bandant : la montée de sève du printemps sans doute... Ce beau mec dans le sable, inconscient, avec ses Convers et son pantalon beige... Endormi, mais le cul un peu tendu : prêt à être lentement dessapé : pour son bien, car il va être tout en sueur, comme ça au grand soleil. Vous allez me dire qu'il trop habillé : ben oui. Mais cette photo me chauffe : faut dire qu'il y fait chaud, non ?

Et là, c'est pas mieux ? Car on voit un peu plus : le (beau) mec agenouillé dans le sable, le visage ruisselant, une grenade dans la gueule en guise de bâillon (original ça : faudra essayer), les mains liées dans le dos et attachées à un poteau. Bon : tout est à faire, je sais. Lui retirer sa chemise (l'arracher plutôt, c'est plus sexe), ouvrir sa braguette, découper son pantalon : râlez, pas ! Imaginez...

Comme pour l'instant on était dans le sage et le très vêtu, franchissons donc une étape : un beau mâle torse nu. Avec un jean. C'est déjà mieux hein ? Dans une forêt (il fait tout de suite meilleur que dans un désert de sable) et devant un gros bazar : en l'occurence un bulldozer, désolé. Et surtout l'air interrogatif et les mains attachés par de grosses cordes... Son jean qui descend déjà un peu sur ses hanches ne va pas rester longtemps en place : hop un bouton à défaire... Et le pantalon glisse sur les cuisses... Pour la suite (et même le début) lâchez-vous : imaginez... Le fait d'être dans un bois est déjà bandant : le lieu fantasmatique des viols ? Boue, odeur d'humus, feuilles mortes : imaginez bordel !

Je pense que la photo suivante va vous aider : car voilà ce que ça donne, un futal arraché de force. Puis un slip baissé sur les genoux, dévoilant le sexe endormi au milieu des poils du pubis. Il est pas bandant ce beau mec mal rasé, superbement musclé, torse nu et ligoté à genoux à un poteau ? Tête basse en attendant la suite et les parties génitales exhibées malgré lui. Mieux que tout nu, non ?

C'est mieux de procéder par étape, hein ? De faire durer le plaisir de la découverte et de la mise à poil... Même si je dois avouer que ce beau gars entièrement deshabillé, pieds nus dans la gadoue et les chevilles enchaînées, les mains menottées de cuir entourant une énorme branche horizontale  fait monter ma température de plusieurs degrès... Je me e retrouve comme la branche : franchement à l'horizontale... Découvrir ainsi de loin au milieu des arbres, une tache plus claire au milieu du vert sombre, s'approcher en faisant craquer les brindilles et voir ce beau mec tout nu et à dispo. Et ensuite... Ensuite, plein de possibilités peuvent s'offrir, bien entendu...

Et à commencer, comme possibilités, d'avoir deux captifs au lieu d'un : c'est vrai quoi, pourquoi se priver et faire petit ? C'est encore plus bandant de découvrir deux beaux mâles bâillonnés de ruban adhésif et foutus à poil dans une clairière. Les mains menottées derrière un arbre et la bite pendante, pitoyables. Et perso, je trouve que la présence de la jolie dame entre eux ajoute finalement beaucoup : très sophistiquée en plus avec sa posture de top modèle et c'est encore plus humiliant, non ? Et la marque du bronzage sur le corps des deux mecs ajoute aussi. En plus il y a un blond fin, glabre et musclé. Et un gars plus massif et bien poilu. Vous vous occupez d'abord duquel ?

Bon, après, on peut revenir à des plaisirs plus solitaires avec un seul mâle : au moins on peut se concentrer plus facilement. D'accord, il a des bottes. Mais outre qu'il y beaucoup de mes visiteurs qui aiment bien, c'est vrai que pour crapahuter dans les orties et les ronces, les bottes, c'est mieux. Ensuite, voir ce joli gars bâillonné, les bras écartés de forcé et ligotés à deux énormes troncs avec la corde qui serre sa bite et ses couilles dès qu'il essaie de se libérer, c'est non seulement inventif, mais une surprise drôlement agréable à imaginer comme terme d'une petite randonnée dans la nature... Je ne sais pas ce que dit le panneau accroché au dessus de lui, mais ça peut aller de "défense de nourrir les animaux" à "décharge publique" ou, plus sobre "libre service" et "air de repos"...

Le but de la balade est bien entendu de le retourner si c'est un hétéro (et même s'il l'est pas). Retourné sexuellement. Mais pourquoi pas physiquement aussi ? Humm : avouez que ça vous met les sens à l'envers de voir un mâle offert tête en bas ! Ainsi, on peut aussi bien choisir sa bite ou son cul à lécher. Un joli petit cul rond tout crispé. Car il faut aussi dire que ce mec à poil dans les bois est sur le point de se pendre plutôt une correction : fouet ? Orties ? Branche flexilble ? Centuron ? Cravache ? C'est à vous de choisir...

On n'est du reste pas du tout obligé de s'enfoncer tout au fond de la forêt (avant de s'enfoncer ailleurs : humour facile). Un joli mec à poil ligoté à une grille ou un poulailler, pieds nus dans l'herbe et les bras et les jambes écartelées est aussi une bonne idée. Il est pas content d'ailleurs le joli mec... Faut dire qu'il a le sexe rasé à blanc et surtout tiré vers le bas par une chaîne tendue à l'horizontale...

Une fois le captif laissé ainsi en plein air, au bon air et au soleil, dans l'appréhension d'un châtiment ou même tout simplement de visites intempestives (des bûcherons en rut pas exemple, au hasard...), il est certainement beaucoup plus docile et prêt à tout pour être détaché ou même simplement pour récupérer ses fringues. Et ça nous donne une bête des bois très bandante, non ?

Sinon ? Ben il est toujours temps de le dresser... Les arbres sont très pratiques pour ça, les forêts profondes ne sont pas très fréquentées et donc lui permettent de beugler tant qu'il veut... Et puis le sol est déjà sale. Donc une fessée bien cuisante (ou comme ici une flagellation avec une branche de sapin feuillue) est facile et en plus... ça ouvre l'appêtit... Tout en restant un plaisir très naturel. Limite écolo Eva Joly ?

(A SUIVRE)

Comments

[cossartandre]

Entièrement deshhabillé ,pied nus dans

la gadoue ,les mains menottées et mâles baillonnées de ruban adhésif ,et les chevilles menottés : c'est formidable.