PHOTOS - PILORI 8 - Pilori et fessée...

Ben oui : c'est un joli meuble. Je parle du pilori, bien entendu. Même si la victime au futal de cuir baissé sur des fesses déjà rouges et son bourreau maniant un paddle, tout juste orné d'un harnais court et la bite à l'horinzontale sont aussi très décoratifs...

Ce modèle de pilori, proche du carcan est très excitant. Car il est suspendu dans les airs par desc haînes et oscille donc sous les soubressauts du captif. Voire même sous les coups de la raquette de cuir claquant son cul. Le principe du pilori, c'est aussi l'humiliation. C'est humiliant une fessée ainsi, cul nu, non ?

Imaginez le grincement des chaînes, le crissement du pantalon de cuir et le martellement des pieds nus du bourreau. Et bien entendu le sifflement du paddle de cuir et le bruit des claques sur les fesses de plus en plus chaudes, rythmés par les plaintes et les soupirs de la victime... Je raconte bien ? Ben si : je raconte vachement bien, putain...

Le captif a été finalement libéré du pilori. Et maintenant docile et parfaitement à la botte de son master, il se retrouve propulsé vers le lit les mains collées sur le mur (argh, le mur, touchour le mur). Son cul mis en valeur par un jock strap, n'a pourtant pas terminé de recevoir sa raclée. Toujours avec un paddle de cuir, claquant avec bruit.

Et pour changer, le jeune mec qui le dresse... change de paddle. En reprenant le modèle précédent percé de trous...

Bon : assez de bruit, revenons à notre sujet et au principe du pilori et de la fessée façon torture médiévale. Dans une cave sombre, un master en rut va prendre en main et dresser sa lope à sa façon. Le jeune type est suspendu par les bras, baîllonné par une muselière de cuir. Et il se tortille et lutte pendant que son dresseur collé dans son dos lui mordille les oreilles en lui murmurant ce qui va suivre et en lui montrant aussi la lanière de cuir destinée à lui administrer sa correction. Vous voyez bien que je raconte bien...  C'est pas un pédé, le dresseur, du reste. Heu... c'est une façon de parler, bien entendu. C'est simplement pour dire qu'il est du genre hard comme master. Du genre bandant aussi, si l'on considère l'érection des deux mâles dans la cave...

   

Je crois qu'on peut dire que c'est une vraie belle correction, non ? Le jeune mec suspendu par les bras ruissèle de sueur et son cul rond est maintenant violacé et brûlant. Et le master contemple son oeuvre en venant caresser de la pointe de la langue le cul en feu et lécher les gouttes de transpiration à même la peau gonflée... Au fait, le pilori, me direz-vous ? Car pour la fessée, on peut considérer que j'ai rempli le cahier des charges, n'est-ce-pas... Définitivement maté, le slave est propulsé vers le pilori, justement. Si son cul a un peu refroidi, il reste toujours un peu zébré et le dominateur toujours aussi excité vient poser sa main sur le haut dos fouetté par lui. Je pense que son slave va maintenant se faire sauvagement enculer, vous êtes d'accord avec moi ? Sauvagement à cause du format de la bite frottant sur ses fesses  écarlates. Et la salope ne devrait pas s'en plaindre : elle a le feu au cul. Ou plutôt le cul en feu, c'est vrai...

   

(A SUIVRE...)