GOTIKUS EN VRAI - DENIS, PHIX et moi - 15 mars 2012 - Phix l'étalon à grosse bite : une saillie impressionnante...

15 mars 2012 - Il faisait un peu froid en cet après midi de mars. Et Denis et moi attendions l'arrivée programmée de Phix, le nikeur fou...  Je prépare du café, histoire aussi bien de se réveiller que de se réchauffer. Et pendant que je m'affaire dans ma cuisine, j'entends Denis se dessaper de l'autre coté du mur : le bruit de ses pompes tombant sur le sol, le cliquetis d'une boucle de ceinture... En découvrant ensuite Denis en slip sur mon lit, je ne peux résister à l'envie de faire une petite photo : beau gars, non, l'Alsacien?  Et encore, vous ne pouvez pas juger de l'effet glacial de ses grands yeux bleus-gris.

Denis est gentiment en train de consulter ses messages sur son I Phone, sans doute ceux de sa femme et de ses gosses (ben oui, il a une vie de famille, le beau gars). Et comme ça, en slip noir, tout sage avec ses pieds nus frottant sur le parquet, je le trouve terriblement sexe. Je l'ai vu à poil et sous toutes les coutures, exhibant ses zones les plus intimes et dans toutes les positions et les plus obscènes et les plus indécentes. Mais ça, c'est tout nouveau. Ce slip sage et ce reste de pudeur pendant qu'il se concentre sur son téléphone est une première... Marrant non ? Trouver plus excitant de le voir encore un peu habillé plutôt que tout nu... Alors que moi je suis totalement vêtu : ce contraste aussi doit jouer sur mon excitation, je pense. Car au lieu de baiser directement comme d'habitude : on papote et je fais semblant de ne pas voir la bite de Denis bander et déformer peu à peu son slibard...

Le temps d'un bavardage et de quelques cigarettes et on sursaute. Car on tambourine d'un coup à ma porte : j'ai même cru que c'était ma vieille voisine un peu sourde ! Phix est arrivé ! Et tout de suite l'ambiance tranquille et cool entre Denis et moi évolue : car il est chaud bouillant le Phix. Il est le cul à l'air en peu de temps et ne conserve qu'un débardeur noir qui lui va d'ailleurs très bien, accentuant son air de pirate. Denis est débarrassé presto de son slip noir plus ou moins de force et s'il a encore son tee shirt et ses chaussettes, je sens qu'il ne va pas les garder longtemps. Je regarde les deux mecs assis en face de moi : ils ont posé leurs tasses et sur l'ordre de Phix en chaleur grave Denis branle le dard déjà raide et dégoulinant de mouille du mâle assis à ses cotés...

Phix s'est relevé et ricane : un priape ! Il se campe devant Denis toujours assis et sage. Sa grosse tige luisante d'excitation vient caresser la gueule virile de Denis et s'essuie même sur ses lèvres. Phix est en rut et son beau membre méritait une photo, je trouve. Trouvez pas ? Du beau matos...

Je me sens l'âme à faire les voyeurs aujourd'hui... Denis suce un peu le gros zob dressé devant sa gueule, mais c'est surtout son trou de balle poilu qui fait envie à Phix. Denis est relevé, retourné et poussé à 4 pattes sur mon lit, cul en l'air. D'habitude, Phix trouve Denis déjà largement sailli par moi et l'anus déja ouvert, trempé et lubrifié. Voire même lubrifié par mon foutre. L'idée de passer le premier cette fois a l'air de chauffer grave le nouvel arrivé. Enfin, je ne sais pas pourquoi je dis ça : il est toujours chaud, le Phix... Je me demande même si j'ai déjà vu son énorme sexe autrement que comme sur la photo : raide et dur...

La vache ! Denis a poussé un grognement animal : ben oui, enculé comme ça sans aucune préparation, directement et sauvagement, ça le fait ! C'est pourtant un sensuel et un tendre, le Phix. Et il a donc fait gaffe, mais moi, toujours assis dans mon fauteuil défoncé, j'assiste pourtant à une saillie en règle... De la baise animale. Avec un côté viol particulièrement bandant. Denis se retrouve la gueule enfoncée fermement dans les coussins de mon plumard et l'énorme chibre raide et épais s'enfonce d'un coup tout au fond de ses tripes... Il est enfin réveillé le frileux Denis. Et il dérouille ! Ses chaussettes noires portant la trace de la poussière de ma tannière sur la plante des pieds s'agitent, j'entends le bruit de ses couilles balottant pendant qu'il se branle. Denis souffle et geint d'une voix grave. Et je regarde le magnifique cul rond de Phix qui roule et tangue pendant que le satyre défonce le mâle prosterné devant lui en faisant claquer ses cuisses larges sur les fesses blanches...

C'est là le coté sympa des plans à trois : on peut aussi être au spectacle... Et c'est un sacré spectacle que les deux mecs m'offrent... J'avais proposé de tester mon nouveau jouet : un plug. Mais il a roulé sur le sol, bien inutile. Et bien ridicule aussi par rapport au format du pieu de chair qui coulisse dans l'anus de Denis. Le bandeau et la cordelette destinés à soumettre l'Alsacien ont valsés. Phix est un étalon en rut : chaque fois qu'il sent la chatte maintenant bien ouverte de Denis pulser il ricane et donne de nouveaux coups de reins brutaux pour faire à nouveau jouir la chatte de mec de sa monture. C'est beau tout ça : le débardeur noir de Phix fait ressortir les chaussettes poussiéreuses de Denis. Et en haut du triangle formé par les cuisses ouvertes du baiseur en chaleur, je contemple ce beau cul rond de mâle avec en dessous deux paires de burnes tressautant en rythme... Les couilles rondes de Phix et les gros testicules pendants et velus de Denis. Mon lit craque, les pieds de Phix tambourinent sur le sol et Denis défoncé sans interruptions pousse des grognements sourds...

Je m'approche, fasciné par cette zone offerte à mes regards : je sens l'odeur forte de Denis et en passant mes doigts sous les couilles de Phix - des couilles bien pleines - je vais tater le trou poisseux et poilu de Denis. Sa rondelle est trempée et brûlante à la fois. Mes doigts sont alors humides et odorant du parfum de sa toison et de sa raie humide... Bon, c'est vrai : Phix est du genre bavard. Et tout en défonçant le mâle à 4 pattes devant lui, il cause, plaisante, discute, lance des injures humiliantes, s'esclame, tente des jeux de mots approximatifs, rigole, insulte à nouveau, s'esclaffe... Par contraste avec Denis aux grognements sourds et rythmés (rythmés aussi par sa tête butant contre ma bibliothèque), on va dire que ça fait une moyenne ?

Bon, bien entendu, le spectacle de ce beau cul de mec s'agitant sous mon nez de façon sporadique me donne à moi d'autres idées : je serais bien allé tester la rondelle de Phix moi, histoire de lui faire connaître les joies du sandwich. Mais bon : comment voulez-vous niquer un mec qui pistonne à ce rythme, hein ? Un clébard en rut qui n'en finit pas de troncher le trou auquel il est agrippé...

Ah ça : pour de la saillie endurante, c'est de la saille endurante... Vous ne pourrez pas voir le visage de Denis : il est marié et doit donc rester anonyme. Et c'est dommage : car il ouvre la gueule en tirant la langue comme une pute, puis se mord les lèvres. Et Phix en artiste de la baise alterne les moments de violence où ses paluches chaudes et courtes vont claquer sur le cul de Denis et les solos en douceur, sortant son gland dégoulinant de l'anus dilaté qu'il titille de la tête de son chibre... Et moi, me direz-vous : ben je contemple et je profite du show, pour commencer.

Mais forcément, j'ai pris la relève. Et je dois dire qu'entrer ainsi dans une vulve trempée et brûlante, c'est franchement top. Phix assis à ma place sur mon fauteuil souffle, le front baigné de sueur avec un regard d'halluciné. Par contre vous n'aurez pas de photo de ma prestation : j'avais bien autre chose à penser et Phix aurait été capable d'enculer mon appareil photo... Chauffé à blanc par le spectacle précédent j'ai jouis très vite : en arrosant de mon foutre le cul de Denis. Pendant ce temps, Phix lui arrachait ses chaussettes, lui léchait les pieds, lui maintenait la nuque et lui enfonçait la tête dans le matelas : toujours en rut. Avant de recommencer à le saillir, il avait enlevé à Denis son tee shirt maintenant bien trempé... Et comme Denis voulait faire une pause, au moins le temps d'une cigarette, Phix l'a poussé impitoyablement dans la même position en bramant un "ta gueule" particulièrement convainquant...

Et hop : la saillie à recommencée ! Encore plus sauvage après mon intervention trop rapide ! C'est bien simple : sous les ahanements des deux mâles (et les blagues un peu lourdes de Phix toujours trop bavard), j'entendais distinctement le bruit du trou de Denis suçant la bite de Phix.

Je prenais des photos : je les trouve pas mal en plus. Et calmé et pourtant encore chaud, je contemplais le beau cul de Phix et le corps nu de Denis trempé de sueur... Ses mains crispées sur son sexe le branlaient et ses pieds nus s'agitaient avec des convulsions : parfois en allant même enserrer les beaux mollets musclés de Phix pour le pousser à l'investir encore plus complètement...

Denis pourtant silencieux en général beuglait de plus en plus fort. Je suis donc allé chercher mon bâillon mors. Et ainsi, il était comme une jument livré à un étalon. Je lui ai aussi bandé les yeux, pour que sa jouissance finale soit totale et qu'il se concentre encore davantage sur les sensations de son anus en feu. Installé à coté de Phix, je regardais le chibre énorme totalement avalé par le trou velu de Denis et j'entendais même le bruit des gouttes tombant sur mon plancher. De la sueur, ma propre semence ou même la chatte de Denis mouillant ?

Je ne sais pas combien de temps la saillie de Phix avant duré : une heure ? Une heure et demi ? Deux heure. Plus même sans doute. Et finalement, Phix s'est autorisé à jouir. Ce cochon avait su se retenir. En écartant le cul musclé de Denis, il a exhibé la rondelle écarlate du beau mec, montré sa pine un peu merdeuse et un beuglement animal a alors résonné dans ma tannière : un coup à vraiment faire débarquer ma vieille voisine... Phix ahanait, trempé de sueur et le rectum de Denis était rempli de semence. Une odeur animale de sueur et de foutre flottait dans mon repaire : il faut dire que Denis lui aussi a juté. Plus discrètement et en continuant ensuite à se faire défoncer sans doute...  En se relevant, courbaturé, les muscles des cuisses tétanisés, les jambes tremblantes et les poils poisseux de jus, Denis avait le regard drôlement brillant. Et aussi les yeux un peu cernés. Phix ? Ben il recommençait à bander, je crois bien. Et il causait. Comme d'habitude...

FIN