PHOTOS - CHAINES & FERS 6 - Cadenas vintage et chaînes masculines...

Un mâle nu et simplement vêtu d'une chaîne, ben moi je trouve ça très bien et très largement suffisant comme fringue. Non ? Ce petit brun prisonnier dans un cachot, accroupi sur la terre battue (la terre aussi ?) et les mains liées ensemble, le regard craintif et sa belle tige pendant sous un pubis tondu a-t-il besoin d'autre vêtements que sa chaîne ? Franchement ?

On peut ainsi découvrir l'usage de la chaîne dans les photos vintages des studios AMG. Et je ne parle pas de la chaîne pour les conduites sous la neige vous l'aurez compris ? D'abord ce biker années 50 en train de se dessaper. D'accord, la chaîne est simplement au sol, mais on va pas bouder son plaisir : c'est plaisant de voir si longtemps après ce joli mec en chaussette, torse nu et se penchant pour retirer sa seconde grosse botte de moto.

Voilà : c'est déjà plus hot. Ses bottes aux pieds, le corps luisant de sueur, le joli lot venu du passé exhibe son sexe au centre de la marque sans bronzage de son slip de bain (démodé : vous avez vu la coupe?), son pubis frisé, naturel. Et sa posture est rendue encore plus excitante par la chaîne et les fers emprisonnant ses poignets. Ce n'est plus un jeune motard rebelle, mais un esclave livré à toutes nos envies...

Humm : encore plus fort ! Les bottes et la casquette de biker contrastent avec le décor pseudo médiéval et avec les fers et les éléments de contraintes. Et l'air fermé du beau gars est d'autant plus bandant que sa posture est tout à fait indécente, exhibant son sexe et son anus poilu dans un appel à la langue ou à une sodomie directe... Une chienne prête pour la saillie... à la chaîne ?

Je dois dire que les photos anciennes des studios MG dégagent quelque chose de vraiment très excitant. Bien sur, il y a le fait que les jeunes mecs exhibés et surgis des années 50 à 70 sont des jeunes voyous désargentés voire souvent des petits gigolos hétéros. Mais il y a aussi la charge fantasmatique transmise par l'univers et le décor du photographe. C'est kitsch, mais aussi très sexe. C'est pas torride comme cliché, ce joli brun naturel au corps en sueur et aux cuisses ouvertes, portant ses bottes et fixant le photographe avec un mélange de mépris et de peur, chargé de chaînes, fers aux chevilles et aux poignets ?

Et en noir et blanc et en exterieur, c'est pas moins bien. Ce joli blond musclé ferme les yeux en tirant sur ses liens comme un captif antique, cuisses grandes ouvertes dans une totale impudeur. Et au centre de la photo notre regard est tout de suite attiré par son sexe au repos, aux couilles lourdes et pendantes, souligné par la tache sombre du pubis frisé. Pas toiletté, naturel : et enchaîné...

Comparons avec des photos plus modernes et tout aussi célèbres : un des photos des Dieux du Stade, par exemple, exhibant sensuellement des joueurs de Rugby. Et là : surprise ! De nouveau, le beau mâle musclé et nu porte des fers aux pieds réunis par une chaîne... Ce serait donc une constante de la photo masculine... de charme ? Le maillon fort en quelque sorte...

(A SUIVRE)