GOTIKUS EN VRAI - JERRY visite rapide - 4 septembre 2012 - Sueur, sexe et sensualité. - GOTIKUS

26 septembre 2012

GOTIKUS EN VRAI - JERRY visite rapide - 4 septembre 2012 - Sueur, sexe et sensualité.

4 septembre 2012 - Jerry était chaud : ses SMS en témoignent... Me sucer le dard, se faire arroser de pisse et boire mon urine, lécher mes panards : l'Anglais semblait prêt à tout. Il fait chaud aussi du reste, en cette fin d'après midi du début du mois septembre : un été Indien. Et en plus le jeune mâle est venu en vélib de sa banlieue... Je vais le chercher dans mon entrée. Il a les yeux bandés et la première chose évidente, c'est que Jerry dégouline de sueur... Sa chemise de coton est déjà humide et quand j'installe mon jouet sexuel dans mon repaire, devant moi, mains sur la tête et donc les aisselles découvertes, une odeur forte de sueur saine titille mes narines... Me chauffe bien, ça... J'ouvre fermement la chemise pour découvrir son torse luisant : Jerry se tortille et se redresse en sentant mes mains chaudes sur sa poitrine puis le haut de son ventre rond et doux... Avec une bosse évidente au niveau de la braguette de son jean moite...

Mes insultes murmurées à voix basse ne le calment pas (forcément) et le font même transpirer à grosses gouttes. C'est donc une chemise vraiment humide que je lui arrache avant de lui remettre les mains sur la tête. Et quand après l'avoir retourné, je baisse son pantalon et son slip brutalement, j'entends le "plop" de son sexe raide sorti de son sous-vêtement tiède et surtout je contemple son dos dégoulinant de sueur et son joli petit cul crispé où la transpiration forme des coulures salées... A coups de langue justement, je lèche son dos et sa nuque, mes mains sont humides en courant sur sa peau luisante : Jerry aux yeux bandés ne peut le voir, mais mes caresses et mes léchouilles font réagir son cul, qui tremble et se crispe au fur et à mesure que ma bouche descend vers sa raie trempée...

Je lui ai viré ses pompes, puis en poussant fermement sur son dos, j'installe mon visiteur penché en avant, appuyé sur mon plumard. Je m'éloigne un peu pour contempler le spectacle du gars ainsi exhibé. Avec son jean moite retourné, son slip noir baissé à mi-cuisses et ses chaussette noires un peu humides sur le plancher... Jerry creuse le dos, se tortille inconsciemment et ainsi je vois ses belles couilles pendantes et poilues osciller entre ses cuisses musclées... Son cul blanc où l'on distingue la ligne de démarcation de son bronzage me donne une furieuse envie de retirer mon ceinturon et de lui administrer une correction. Pour le plaisir de voir des lignes pourpres et gonflées zébrer le cul offert et passer ensuite doucement ma paume sur la peau chaude et marquée. Le fouetter, puis le consoler. Mais je ne suis pas certain que mon Anglais soit adepte de l'éducation britannique... Pourtant dans britannique, il y a... nique? Bon, passons, c'est très mauvais comme humour. Et puis aussi, on n'a pas beaucoup de temps : une demi-heure...

Pas beaucoup de temps : donc on profite sans blabla. J'ai maintenant le visage enfoncé entre ses fesses rondes et blanches. L'odeur poivrée et sa rondelle humide qui palpite sous la pointe de ma langue me font grogner comme une grosse bête... Jerry se mord les lèvres et retient ses gémissements. Car, il vient de son taff en banlieue, ne se sent pas propre et c'est d'ailleurs un élément particulièrement bandant de le sentir partagé entre le plaisir de se faire bouffer le trou et la crainte de se lâcher et de se vider... Mes lèvres caressent ses fesses, jouent avec les poils humides sur sa raie, titillent les burnes, la barbe de mon menton crisse sur sa peau fine... Et Jerry se tortille en écartant de plus en plus les cuisses en dépit de l'entrave élastique de son slip... Il cambre et offre ses fesses. Et en même temps crispe son anus...

Hop, pas le temps de faire dans la dentelle ni de se la jouer sensuel trop longtemps : Jerry est maintenant à 4 pattes sur mon lit et en une seconde, son jean et son slip ont volés : il peut écarter les jambes maintenant... Ma paluche se plaque sur son dos, pour l'obliger à creuser les reins et ainsi ouvrir son cul. C'est trop bandant de voir le jeune mec luisant de sueur s'offrir ainsi de force... Je ne pense pas qu'il réalise très bien l'indécence de la posture que je lui ai fait prendre. Ni le contraste qu'il fait ainsi tout nu, en chaussettes et cul offert, avec moi, tout habillé, l'emballage de la capote entre les dents et en même temps mon appareil photo entre les mains. En faisant attention de bien cadrer et avec le pantalon sur les chevilles, et la bite raide comme un bout de bois, c'est pas facile tout ça... D'autant que j'ai du mal à me concentrer sur autre chose que sur le spectacle que m'offe Jerry... Humm : ce cul offert, avec le sexe poilu et moite et les chaussettes noires montrant la trace de la poussière sur la plante des pieds... Toutes chaudes et humides entre mes paumes...

En louchant sur ce petit trou serré et crispé, je prends une nouvelle photo : beaucoup mieux cadrée... On y découvre même une tache de mouille sur mon drap, sous les grosses burnes velues et pendantes de Jerry, totalement exhibé et d'autant plus tout nu qu'il porte encore ses chaussettes moites... Du bout du doigt, j'effleure la rondelle serrée et chaude, je descend vers les testicules, bien lourdes. Puis, je m'agenouille, pour humer et lécher ce trou humide et poisseux.

Hum : j'adore bouffer un cul de mec. Et celui de Jerry est hyper bandant. Les poils qui entourent le petite fente de son anus sont comme des antennes que l'on peut chatouiller de la pointe de la langue, la peau frissonne et tremble sous la caresse. Et quand je lâche (enfin) mon appareil photo pour plaquer mes deux mains à pleines pognes sur ses fesses blanches pour enfoncer ma langue dans son trou, Jerry se tortille et se masturbe en gémissant. J'entends des gouttes de mouille venir rejoindre les premières sur mon drap violet. D'ailleurs, en parlant de violer...

Pas de photos de la suite : j'ai sauté Jerry et j'avais franchement autre chose en tête que jouer les reporters. Une saillie pas facile du reste, l'anus de Jerry hyper stressé était crispé, serré, inviolable. Enfin inviolable, mais pas pour moi, hé hé hé... Et c'est après avoir totalement gazé de force Jerry au poppers que je suis arrivé à bien me faire du bien dans son rectum merdeux et tout chaud. Pas très propre, mais rien de dramatique : de l'avantage d'une capote, justement. Le petit mec viril avait besoin d'une récompense après m'avoir donné son cul : hop, je le fait descendre du lit, à genoux sur le parquet et je lui colle mon slip pisseux sur le visage en lui ordonnant de humer, de lécher, de branler avec ses lèvres, à travers le coton odorant... Pour commencer...

Avec son nez, Jerry cherche comme un clebs et je l'entends gémir et grogner en tremblant quand il trouve la tache humide et puante où reposait mon gland. Il sniffe à grand bruit l'odeur de pisse, de foutre et de mouille qui a impregné mon slip noir. Et Jerry grogne tout en se masturbant et en transpirant de partout... Chaud...

Je le laisse un peu se saouler d'odeurs fortes de mâle. Puis je le laisse aussi ensuite baisser mon slibard pour sortir ma bite qui bande à vue d'oeil. Et fini même par décalotter toute seule. Le gland est un peu crade et je vois Jerry presser ses narines sur tout le gland, puis sur le méat pour renifler l'odeur... Odeur de pisse et de mâle. Je passe ma queue sous son nez, puis je m'essuie sur ses lèvres et je le vois goûter en tirant un peu la langue, le petit salopard...

J'essaie de prendre des photos, mais bien entendu, j'ai autre chose en tête pour faire ça bien... En tête ou en queue, plutôt. Car après avoir humé ma bite, Jerry l'a entièrement avalée. A fond de gorge et en gémissant... C'est un super pompeur et on sent surtout qu'il aime ça... Mon gland bute sur l'arrière de sa gorge, je sens un filet de salive couler contre mes couilles et le bruit des lèvres suçant mon chibre résonne dans le silence. A genoux à poil sur mon plancher, Jerry suce, tète, avale, puis mordille pour tester l'épaisseur de ma pine, maintenant bien raide...

Il a bien failli s'étouffer, l'animal ! Jerry fait une pause et de sa main libre (puisque l'autre est occupée à se pogner) il tate mon pénis ruisselant de sa salive... J'avais très envie de pisser, mais surtout de juter ainsi : d'arroser la gueule du petit bonhomme avec mon foutre, de l'inonder de semence... Je crois que j'aurais bien aimer aussi le relever, le porter pour le jeter sur mon plumard et en lui écartant les jambes, le sauter à nouveau. Mais bon : l'heure tourne.

Il m'a sucé et je fini par juter sans bien savoir où : sur sa gueule j'imagine ou sur mon plancher. Et Jerry, ce petit vicieux vient flairer l'odeur de mon foutre sur mon gland, tout en titillant le frein de mon prépuce sous mon gland. L'odeur de sperme et tout ce qui a précédé font leur effet : le mec prosterné à mes pieds se tortille, une main perdue sous ses couilles (pour toucher son anus ouvert, voire plus ? Pas certain, ça...), puis astiquant son sexe. Son autre main est accrochée à mon chibre, puis je sens sur mes pieds l'averse chaude du sperme de Jerry... Ensuite ? Le repos des guerriers. Dix minutes couché contre moi dans mon plumard pour un calin et sentir ma poitrine large contre dos, mes mains sur ses cuisses et sa nuque. Ensuite, hop, un tour à la salle de bain et retour yeux bandés dans mon entrée. Bisou, ciao. Et moi, je suis retourné me coucher : le stess, ça fatigue, moi je trouve.