PHOTOS - ARMY, MILITAIRES & captifs 2 - Affrontements... pas trop guerriers ?

Ben faut comprendre aussi : les bidasses sont enfermés entre hommes (en général pas trop le droit de toucher au personnel féminin) et ils sont shootés à la testostérone. Alors parfois, ben... ça dérape ? C'est manifestement ce qui vient d'arriver sur cette photo, dans un bureau de l'armée bien kaki et surtout... bien discret. Ou alors le petit trouphion foutu à genoux n'a pas compris ce qu'on voulait dire par "faire des pompes"?

La suite ? Ben après avoir astiqué à la langue l'arme personnelle du beau soldat tatoué, le joli brun n'a pas d'autre choix que de continuer à lui obéir. Il lui vire donc son pantalon de treillis (et d'abord ses rangers, forcément) et l'installe cul nu, à 4 pattes en débardeur kaki et chaussettes moites (et aussi kaki) sur le bureau. Tout le monde le sait : pour progresser dans l'armée, faut être un peu lèche-cul, souvent...

Et après avoir bien titillé la rosette fermée et humide, il continue à donner de sa personne. Le bon bidasse donc : bien dressé et bien discipliné. Bandant, non de l'entendre beugler en se faisant monter en force par le beau blond en rut ? On s'éclate entre mecs dans l'armée : et souvent la rondelle, qu'on s'éclate...

On a jeté un petit coup d'oeil indiscret dans les bureaux : et sous la tente alors ? Enfin, quand je dis "tente militaire", c'est pas toujours orthographié comme ça manifestement... Rahh : les plaques militaires luisant sur les torses virils et d'un coté la tronche détendue du barbu en train de se faire du bien dans un cul de mâle bien serré et de l'autre le visage écarlate et crispé par le douleur de son camarade lui donnant son trou de balle. En campagne, les trous de balles, c'est une partie de l'équipement, non ?

Suis en forme, moi, aujourd'hui : une saillie drôlatique à la fin de chaque commentaire. Et d'ailleurs, en parlant de saillie, il dérouille grave le beau brun à la gueule mal rasée... Une patte en l'air comme une bonne pute à soldat, il se fait tringler bien comme il faut... C'est beau l'amitié virile, non ?

Ben oui : faut s'avoir s'entre aider entre mâles et faire tomber la pression... Et du reste qui sait mieux comment faire du bien à un mec... qu'un autre mec. Reste à savoir si ici le suceur est un gradé vicieux ou un sulbalterne discipliné. Je pencherai bien pour la première hypothèse, moi... Normal : le simple bidasse est au garde à vous et son superieur assis dans un fauteuil de cuir. Faut faire attention et savoir lire les images...

Oups : me suis trompé. C'était pas un bureau de l'armée, mais la pièce où oeuvre le coiffeur du régiment. Enfin, quand je dis le coiffeur, c'est beaucoup dire : après avoir sucé de force le soldat affecté (sans affectation) au rasage des nuques viriles (et pas des ennuques, justement), le "client" se fait tondre bien ras... Pas des tapioles, les bidasses, je vous dis moi : pas un univers de shampouineuses.

Mais par contre, parfois un univers d'enculés ? Ben on dirait bien, non ? Car après avoir sucé et avoir été tondu, le beau gars doit ensuite utiliser son trou de mec : belle croupe non ? Reste à savoir si ça faisait partie de la punition... Ben oui, la punition : les pompes, le rasage et... le trou.

Joli spectacle non ? Un fier soldat enfonçant son chibre dans la gueule grande ouverte d'un mâle prosterné devant ses rangers. C'est moins violent qu'une baïonnette quand même. Même s'il lui maintient la tête de force pour lui faire astiquer son zob avec sa langue et ses lèvres.

Ben oui : si on utilise un trou bien humide, c'est souvent pour continuer avec un autre trou plus serré. L'a pas l'air très rassuré le beau mec maintenant tout nu sur un des lits du baraquement : on croit l'entendre grogner : "tu fais gaffe hein, j'ai pas l'habitude..."

Déchiré ? Pas des calins de tapettes en tout cas, c'est clair : de la vraie saillie de mâle, bien animale et bien transpirante. Les poings serrés, le cul cambré et les cuisses bien ouvertes, le beau barbu se fait grimper en soufflant pour détendre son anus crispé... Il se branle pas : un trou. Aime bien, moi...

Ben oui : il donne son cul pour soulager un autre soldat. Et d'ailleurs : quel cul ! Un vrai fion de mâle. Musclé, rond comme une croupe, luisant de sueur et bien poilu avec au centre de la toison moite une fente rose et fermée aux allures de chatte. De toute façon, personne ne le saura. Car dans l'armée il y a une autre loi : la loi du silence. Même si les deux mâles beuglent et grognent comme des bêtes en chaleur...

(A SUIVRE...)