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GOTIKUS - HardGayWorld
15 octobre 2012

GOTIKUS EN VRAI - FABIEN BI - 5 septembre 2012 - Plan dans ma cave 2 et fin...

(Suite...) Fabien est tout nu, debout dans l'obscurité du sous sol de mon immeuble. Un lieu crade et humide, sans lumière. Avec tout autour de nous, le bruit des pas dans l'escalier, celui des portes qui claquent, le son des voix lointaines... La posture mains sur la tête est celle d'un prisonnier et ainsi à poil et aisselles découvertes, l'odeur de sa transpiration sur sa peau trempée se mélange au parfum de moisi et de terre de la cave sombre. La position de Fabien suggère aussi une mise à poil forcée et dans ce lieu noir et chaud et moite (on est en septembre et dehors, il faisait alors une pleine chaleur), ce mâle aux yeux fermés et arborant la trace de son maillot de bain d'été signalée par l'absence de bronzage en haut de ses cuisses et autour de son sexe raide et mouillé au centre de sa toison pubienne est particulièrement... nu. Ses orteils sont enfoncés dans la terre battue du sol poussiéreux et je vois ses jambes trembler un peu au bruit du flash de mon appareil photo. Pendant que mon bâtard attends que je l'utilise à ma guise... FC93___ErectionJe continue le dressage et l'exhibition forcée du mec marié venu se livrer à moi. A voix basse et sur un ton menaçant, j'ordonne à Fabien de se mettre à genoux dans la crasse du couloir. Toujours mains sur la tête, bien entendu... Car le mâle viril et actif n'a pu s'empêcher de tripoter son sexe en m'obéissant. Je le contemple un peu : il baisse la tête et ne bronche pas. C'est son pénis en érection qui bouge en fait, comme un animal indépendant. Le gland de son chibre de mâle actif mouille et est tout luisant dans la pénombre. Contrasant avec le visage tout rouge et l'air furieux de Fabien, son sexe s'agite et sous mes insultes humiliantes, je le vois même de loin dresser la tête et raidir...

FC94___A_genoux 

Après avoir pris une nouvelle photo, je m'approche lentement : Fabien baisse encore davantage la tête et se crispe en tremblant. Je reste debout devant lui à un mètre. Ma bite raide pointe par ma braguette et j'ordonne à mon clébard de tirer la langue, comme un bonne pute. Le beau mâle prosterné tout nu dans ce décor de prison obéis et grogne même d'excitation en se passant la langue sur les lèvres. Puis comme je ne bouge pas, il finit par s'avancer à genoux dans la poussière pour venir chercher ma queue en gémissant et en faisant tressauter sa pine raide... Une bonne salope et c'est bien entendu, ce que j'attendais...

FC95___Putasse

J'ai encore reculé et Fabien a fini par se mettre à genoux comme le bâtard qu'il est... Il a eu à peine le temps de humer mon sexe trempé d'excitation et odorant sous le prépuce : j'ai encore reculé en ricanant. Fabien marche à 4 pattes sur le sol en terre battue. Il n'y a pas de lumière et on ne peut pas en juger par la photo éclairée au flash : il ne distingue de moi qu'une silhouette sombre et ne peut repérer ma bite que par les lèvres et l'odeur de mon sexe...  De mon côté, je vois ses fesses claires rouler et ses pieds nus blanchis de poussière. Et je sens aussi un fumet de sueur monter de son corps luisant de transpiration et j'entends le choc sourd de ses genoux et de ses pieds sur la terre battue...

FC96___Cl_bard

Fabien a poussé un long gémissement d'excitation : sa tête est collé contre mon jean. J'ai ouvert ma chemise et il lèche les poils moites de mon pubis et de mon ventre. Je sens ses mains venir tâter mes pectoraux velus et chercher mes tétons : Fabien est un actif et a des réflexes d'actif. Je le recadre donc et lui plaque la tête contre mon entrejambe. C'est trop bon d'être ainsi dans le noir, avec au dessus de nos têtes toute la vie d'un immeuble qu'on entends bruire et de sentir une bouche chaude et humide qui s'empare de votre bite et la pompe. Puis de se faire lécher les burnes avant de redonner mon chibre raide et dégoulinant de bave et de mouille au mâle nu à genoux devant moi dans la poussière... A voix basse, je continue à insulter mon bâtard et Fabien se lâche de plus en plus en se tordant sur place et en se caressant le cul d'une main, tout en se branlant de l'autre.

FC97___Pompe

Je dois avouer que j'ai plus du tout la tête à prendre des photos : je suis maintenant un bourrin en rut, c'est clair. Je relève donc Fabien, je passe derrière lui pour rester caché et je le pousse devant moi vers le couloir sans lumière où se trouve mon box cadenassé : envie d'être tranquille et de pallier à toute surprise si jamais un de mes voisins vient à se pointer. Je maintient Fabien contre moi, serré contre son dos et il doit sentir ma grosse bite raide et humide de sa bave sur ses fesses, la toison de mon torse fottant contre ses épaules trempées... D'une main, je photographie le long couloir, puis je me débarasse de mon appareil photo. Et de ma chemise, coincée sur la ceinture de mon futal. Je suis maintenant torse nu, pour sentir la moiteur de l'air ambiant...

FC98___Couloir

Je n'ai rien dit et j'ai collé Fabien contre le gros mur de droite, le ventre et le torse appuyé sur les pierres brutes et poussiéreuses d'où monte un odeur forte de moisissure. D'un coup de pied, j'écarte ses jambes, puis après avoir enfilé rapidement une capote, j'ai poussé ma verge contre son anus poilu. A l'aveugle et en écrasant le beau mâle à ma disposition sous mon poids. Comme Fabien se tordait, j'ai écarté ses bras et poussé son visage sur les grosses pierres sales. Et j'ai enfoncé d'un coup ma grosse tige dans son rectum. Un viol brutal et animal, une saillie de brute ou de barbare dans l'obscurité totale du couloir... Fabien était écrasé tout nu contre la paroi, bras écartelés et empalé sur mon chibre raide. Je sensais ses pieds nus écraser mes pompes, j'entendais ses gémissements et ses plaintes, sa peau couverte de sueur et de poussière était chaude contre mon torse poilu et son odeur mâle me remplissait les narines... Je l'ai ainsi sodomisé de force, le nez enfoui dans ses cheveux. Puis je me suis retiré : le bon gars. Car en effet, Fabien ne pouvait pas se branler dans cette position. Alors je suis allé chercher une chaise et assis confortablement, j'ai laissé le bâtard à 4 pattes sur le carton disposé dans ce couloir à cet effet me lécher et pomper ma bite encore chaude de son cul... J'ai enlevé mes chaussures de bateau, portées sans chaussettes et Fabien suçait mes pieds, léchait mes orteils. Puis il retournait en grognant vers mon sexe. J'ai juté en souillant tout son visage et sans doute son torse. Et au même moment j'ai senti un liquide chaud et poisseux arroser mes panards ! Sans viser, puisque nous étions dans le noir, Fabien a juté sur mes pieds. Et il a même balancé sa semence à l'intérieur de mes chaussures, le salaud... Le carton poussiéreux, déjà bien arrosé de pisse et de foutre par mes précedentes visites acompagnées dans ma cave, portant l'empreinte imprimée des pieds nus de Denis, Jerry et les autres, était imbibé de jus...

FC99___Foutre

J'ai enfilé mes pompes en beuglant un peu : c'est dégueu de sentir ainsi ce truc collant et poisseux et de savoir qu'on a les pieds qui barbottent dans le sperme de sa salope... Nous avons alors discuté un peu dans le noir en fumant une clope... Fabien était à nouveau habillé, nous étions plongés dans l'obscurité, moi debout, lui assis sur la chaise et maintenant que l'excitation était retombée, j'ai senti peu à peu une terrible envie de pisser monter. L'humidité, sans doute... J'ai donc tendu à Fabien son sac à dos et je l'ai poussé devant moi le long des couloirs sombres, caché dans son dos. Ma petite lampe de poche me donnait des airs d'ouvreuse de spectacle, mais la lumière dansant sur les parois couvertes de toiles d'araignées était bandante : comme si nous étions dans un souterrain égyptien ou un couloir de souterrain de château hanté. Arrivé dans un endroit retiré, j'ai alors ouvert le jean de Laurent, lui ai baissé son futal et remonté son tee shirt noir. Puis en ricanant, je l'ai fait mettre à genoux devant moi. Et j'ai pissé. Je me suis totalement vidé la vessie. Sur Fabien à genoux. Sur son ventre, son pubis, ses cuisses... Le jet bien dirigé arrosait son sexe en préservant ses fringues. En me reculottant, je me marrais : ma vengeance pour le foutre sur mes pieds était là. Fallait au moins ça. Avec un mouchoir en papier, Fabien s'est un peu essuyé, mais il sentait autant la sueur, le moisi que la pisse. Ma pisse. Puis il a retrouvé la rue et le métro. Pour retourner à l'autre bout de Paris avec la poussière sous ses pieds nouveau chaussés, sa rondelle dilatée par mon pal et son pubis, ses cuisses, son ventre et ses poils humides de mon urine... Une façon de marquer mon territoire, quoi...

FC990___Pisse

FIN

 

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