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GOTIKUS - HardGayWorld
27 octobre 2012

GOTIKUS EN VRAI - DENIS - 13 septembre 2012 - Saillie dans ma cave dans la nuit...

13 septembre 2012 - Il était tard ce soir là, et la nuit était tombée depuis longtemps. Enfin, le silence s'est fait dans mon immeuble et j'attends dans ma cave totalement plongée dans le noir, puisque que la minuterie ne fonctionne plus depuis des mois. Immobile dans un des couloirs, j'écoute la porte s'ouvrir au dessus de moi, le verrou se refermer ensuite et le bruit des pas de Denis descendant les marches. Un peu de jour venu de l'escalier de l'immeuble qui donne sur celui de la cave, lui permets de se déshabiller entièrement. Caché dans l'obscurité, j'écoute les différentes phase de son lent dessapage. Deviner les choses ainsi est à la fois sensuel et terriblement bandant... Le cliquetis de la ceinture de Denis, le glissement de son jean, le "plob" de ses pompes après le son mat des lacets. Et puis au final le frôlement de ses chaussettes et le glissement de son slip... J'entends ensuite le bruit froissé du sac en plastique qu'il l'attendait pour y fourrer toutes ses fringues. Le son mat des talons de Denis sur la pierre de l'escalier devient plus sourd quand le beau mâle en chaleur avance pieds nus sur le sol en terre battue. J'allume ma lampe de poche d'un coup et je surgis ainsi dans le dos de Denis que je découvre alors totalement à poil dans l'air moite du sous sol obscur. Je l'attrape par la nuque et sans un mot et sans ménagement, je le plaque contre le mur de grosses pierres... U peu genre viol ou opération policière, vous voyez ? Brutal et ferme. Collé dos au mur, face à moi d'abord, pour palper à tâtons son sexe, bien raide et bien dur dans ma paume. Puis je retourne Denis, le plaque à nouveau contre le mur et mes mains caressent son dos maintenant poussiéreux, en cherchant entre ses fesses à la raie humide sous mes doigts, l'emplacement de son trou de mâle. Dans le noir, j'entends l'Alsacien grogner et se branler. Je fais une photo et le temps du flash, je découvre son cul blanc contrastant avec sa peau bronzée...

E1 - A poil dans ma caveJ'ai choisi l'endroit dans le couloir le plus proche de l'escalier : sous les pieds nus de Denis se trouve un des cartons humides et crades, marqués par la pisse, le foutre et la sueur de mes précédents visiteurs. Je retourne donc mon jouet sexuel et en poussant sur ses épaules, toujours sans un mot, je le fais se mettre à genoux. Son visage est maintenant plaqué sur ma braguette ouverte. Puis sur les poils de mon pubis. C'est très excitant d'être ainsi plongé dans le noir et de sentir une bouche chaude et humide venir s'emparer de son chibre, d'entendre le crissement de sa touffe sous la langue, puis de sentir à nouveau des lèvres serrées branler la hampe de son chibre. Pendant que Denis tout nu et à genoux pousse un gémissement sporadique en me suçant, je cherche ses tétines, les effleure un peu : le froid et l'excitation les font bander. Bander comme sa grosse bite, raide et luisante de mouille, comme je le découvre en faisant une nouvelle photo...

E2 - Bâtard a genouxLes bras ballants, le corps marqué de poussière et le sexe ainsi dressé, vibrant et humide, Denis est drôlement sexe sous l'éclairage bref du flash. Je l'examine ensuite avec ma lampe de poche comme un flic faisant passer un examen à un voyou. Des ombres dansent autour de nous, le petit faisceau lumineux explore toute les zones du gars immobile... L'idée d'être un policier se soulageant sur un prévenu foutu à poil m'excite à fond. Et je ne suis pas le seul à être chaud : sur le carton poussiéreux et d'où montent des relents de moisi, de pisse et de foutre, je remarque des petites taches plus sombres : le sexe raide de Denis qui goutte...

E3 - En érectionJ'ai beau grogner à mi-voix, Denis ne peut s'empêcher de se masturber et de tripoter son chibre. Je lui ordonne donc de se retourner et de me montrer sa chatte de mec. Mes mots et mes insultes le font gémir et souffler fort comme un animal et c'est très bandant de voir la belle bête nue se tortiller en m'obéissant, en rampant sur le carton crade et odorant... La poussière blanche sur sa peau huilée de sueur, sur son dos et ses fesses, sur la plante de ses pieds ajoute à l'impression d'avoir extrait un prisonnier de son cachot...

E4 - PoussièreJe suis bien trop chaud pour penser à tout ça alors et je ne laisse pas à Denis le temps de comprendre : je baisse mon jean sur mes cuisses, je m'agenouille à mon tour dans la poussière et je pousse d'un coup ma verge bandée à bloc et poisseuse de la bave de Denis contre sa vulve de mec, en cherchant son trou avec mon gland humide. L'anus est serré et je dois dire que baiser ainsi un mec à même le sol, dans l'obscurité et sans préparation me flanque un sacrée gaule !!! Sous ma paume plaquée contre son dos, je sens les muscles rouler avec sur a peau bronzée un mélange de sueur et de poussière. Et les gémissements sourds de douleur de Denis poussant sur son cul et se branlant de plus en plus vite pour ouvrir sa rondelle défoncée sans pitié, me galvanisent. Je dois vraiment me retenir pour ne pas déchirer ainsi le mâle au fion serré...

E5 - Saillie dans le noirJ'y suis allé un peu fort et je me retire donc : je m'incline alors et ma langue prend la place de ma bite. Et je dois dire que lécher ainsi une raie moite et poilue à l'aveugle, en étant guidé par l'odeur, en sentant le parfum poivré et le goût d'un anus de plus en plus palpitant, n'est franchement pas le genre de truc qui calme. Comme un chien en rut qui flaire le cul d'une salope en chaleur, je m'entends grogner et je lâche alors mon sexe pas loin de décharger. Je me relève enfin dans le noir (aie les genoux : il y a un sol dur sous la terre battue) et je m'éloigne un peu pour prendre Denis en photo... A défaut de le prendre tout court ?

E6 - PuteAvec la plante de ses pieds claire répondant à son cul blanc, la poussière et sa peau bronzée, la position offerte à la saillie, c'est un beau spectacle que me révèle la lumière brêve du flash... Car il faut bien imaginer que nous sommes dans le noir total... Entre deux prises de photo, Denis s'est encore plus lâché : il est maintenant prosterné, tout nu dans ce couloir de souterrain, le cul exposé et appelant le mâle. Et outre le bruit de sa respiration qui résonne dans l'obscurité, j'entends le son régulier de sa main branlant son gros dard dressé à l'hoizontale. Sa main aussi fait danser ses grosses burnes rasées de frais : une salope totalement offerte...

E7 - ProsternéJ'entends même le bruit des gouttes de mouille sur le carton poussiéreux : au point que je me suis  demandé si Denis n'avait pas éjaculé dans le noir. Excité par son exhibition, par l'obscurité, par le son des habitants de l'immeuble au dessus de nous, par les sensations de l'air frais et humide sur sa peau, la poussière sous ses pieds nus, l'odeur de moisi et de pisse dans laquelle il baigne. On imagine assez bien le petit courant d'air humide de la cave sur sa rondelle poilue mouillée par ma salive...

E8 - BâtardAh : ce trou du cul ! C'est comme une cible au centre de ses fesses blanches : une cible odorante et poilue que je vois palpiter quand je m'approche à nouveau, avec ma bite raide jaillissant de ma braguette comme un glaive...  Et immobile dans le noir, dans cette posture obscène de chienne s'offrant à la saillie, Denis se branle toujours. Son autre main est venue remonter sur son torse et le bâtard se titille un téton.

E9 - Croupe de mâleJe commence à ne plus avoir envie de photos, maintenant. Je m'accroupi pourtant : l'anus luisant et velu de Denis m'attire trop. Je le hume, lui roule à nouveau une pelle baveuse, comme si c'était une bouche... Et après un dernier cliché, je décide qu'on va maintenant passer aux choses sérieuses...

E90 - Trou luisantDans un coin d'un des couloirs se trouve une chaise abandonnée : une chaise paillée pas jolie, poussiéreuse, mais peu importe. Car elle est surtout... solide ! Je suis assis dessus dans le noir et je me concentre sur ce plaisir incroyable : Denis de dos face à moi a écarté ses fesses musclées. Et il est empalé sur mon chibre raide et se branle l'anus ainsi... L'odeur forte de la transpiration qui mouille son dos se mélange au parfum de moisi qui nous entoure et que l'obscurité semble rendre plus palpable. J'entends les craquements de la chaise, le son des pieds nus de Denis frottant le sol et surtout ce bruit mouillé et obscène : celui de sa vulve de mâle, maintenant bien ouverte, chaude et humide qui suce mon sexe, le branle en pulsant au rythme de nos halètements étouffés... Ma lampe de poche s'est éteinte et nous sommes désormais dans l'obscurité, concentrés sur ce plaisir animal... J'aurais pu jouir ainsi, mais j'ai envie de prendre davantage mon temps. Et surtout mon plaisir. Je relève donc Denis après avoir récupéré ma lampe de poche et je le pousse en direction de l'escalier conduisant à la porte de ma cave. La nuit éclairée par l'immeuble d'en face y est moins obscure. J'ai repris mon appareil photo : pour le plaisir qui viendra après de garder un souvenir faisant ressurgir les sensations. C'est pas bandant de voir ainsi la peau bronzée de Denis salie de poussière blanche ?

E91 - PoussièreJe pousse mon bâtard contre l'escalier : penché en avant, les mains plaquées sur les marches, les jambes écartées et le cul tendu en arrière. Denis obéis, puis ne bronche plus : un animal en attente de saillie. Seuls ses orteils bougent, crispés de part et d'autre de la planche disposée par moi au bas des marches. Je pince alors un peu ses tétons. Mieux : je les titille comme si je trayais ses tétines. Puis ma main passée entre ses fesses blanches vient tirer sur ses couilles pendantes, les soupeser. Et résultat, son gros dard est bien raide entre mes doigts et il goutte sur le sol comme si Denis pissait d'excitation... Et je me souviens des autres mecs venus se faire grimper dans cette posture et à cet endroit précis...

E92 - En positionBen forcément, la suite va de soi. Pas facile de prendre une photo d'ailleurs : d'autant que j'ai un peu peur que la lumière et le bruit du flash ne viennent signaler notre présence à mes voisins montant l'escalier de l'immeuble au dessus de nous... Nous entendons une porte claquer dans les étages. La minuterie des différents palliers vient de s'éteindre et je frotte donc ma bite poisseuse et raide contre les fesses musclées de Denis : pour me chauffer, mais aussi pour le plaisir pervers de sentir le mâle offert tendre son cul et surtout son anus au membre chaud et dur qu'il sent rouler et pousser sur son cul... Et quand mon gland pénêtre son trou moite, Denis grogne, mais hop, je me retire à nouveau...

E93 - BitagotikusBen oui, forcément les photos sont pas bonnes : franchement j'avais vraiment autre chose à faire, pensez-pas ? Et c'est si bon d'avoir les mains plaquées sur les hanches de Denis, les cuisses collées aux siennes et de se faire du bien dans sa rondelle maintenant totalement dilatée et huilée d'excitation... Le décor, l'obscurité contrastant avec les lumières de l'immeuble d'en face, de l'autre coté de la cour ajoutent d'ailleurs à cette excitation, comme celle d'être habillé contre un mâle totalement nu, d'entendre ses pieds faire craquer la planche posée au sol ou celui de sa main branlant son sexe en faisant claquer ses gros testicules pendants...

E94 - SaillieForcément, la saillie n'a pas duré des heures : j'ai senti mon jet de foutre partir dans le rectum de Denis et au même moment le bruit de pluie de sa semence arrosant les marches de l'escalier. Et je me souviens bien avoir jouis d'une manière saccadée, au rythme des pulsations de la rondelle de Denis, en me mordant les lèvres pour ne pas beugler de plaisir, et surtout d'avoir juté beaucoup... Au point qu'en me retirant, j'ai soudain vu l'anus de Denis recracher ma semence sur le sol. Comme si son ventre avait été tellement plein qu'il débordait. Denis reprenait ses esprits, immobile dans la même position et moi avec la lampe de poche faiblarde de mon briquet, je fixais cette fontaine de sperme qui coulait de son trou, entre ses fesses poilues, gouttes à gouttes, comme si les muscles de son anus ouvert ne pouvaient plus rien retenir...

E95 - FoutreNous nous sommes regardés sans un mot, encore haletants et Denis s'est vite rhabillé. Passée la porte de la cave dont le verrou semblait faire un bruit d'enfer, la lumière du hall de mon immeuble était bizarre d'ailleurs : agressive. Retrouver ma tannière permettait au moins de retrouver un peu de sécurité et de sérénité...

Désormais, quand je dois descendre à la cave, je jette toujours un coup d'oeil à la planche placée au bas des marches : elle porte de grosses taches blanches, imprimées dans sa poussière. Et moi seul sait de quoi il s'agit, hé hé hé : mes bébés...

FIN

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