GOTIKUS EN VRAI - JERRY 2 - 21 septembre 2012 - Humiliation, abandon et lachage total(s). - GOTIKUS

4 novembre 2012

GOTIKUS EN VRAI - JERRY 2 - 21 septembre 2012 - Humiliation, abandon et lachage total(s).

21 septembre 2012 (suite). Les chaussettes, la pantalon et le slip porte, marqué d'une légère auréole jaune et de traces plus odorantes de foutre, la chemise bleue, humide et froissée... Maintenant Jerry est tout nu, prosterné à genoux à mes pieds sur une bâche en plastique préservant (pour une fois) mon pauvre parquet. Et je lui plaque le visage sur mon slibard, en le maintenant ainsi écrasé contre mon pakt. Jerry se branle de plus en plus fort, puis le mouvement de sa main sur son chibre s'arrête en m'entendant murmurer à son oreille : tu avais envie de chier ? Alors vas-y : lâche-toi... Jerry sniffe mes poils, mon sexe et mes burnes. J'entends le bruit d'un pêt, puis un autre son encore plus explicite. Jerry est en train de déféquer sur la bâche en plastique, de pisser aussi un peu et le tout en suçant ma bite maintenant franchement raide ! Plus de pudeur, plus de retenue, un lâchage total... Je dois avouer que la situation m'excite franchement. Jerry se colle à mes jambes et pousse une sorte de râle. J'ai même l'impression qu'il sanglote sous son bandeau, tout en chiant à mes pieds... C'est incroyablement fort comme sensation et paradoxalement, c'est... tendre ! Ben oui : une confiance et un abandon total. A la fois humiliant, comme un animal et doux aussi : une claire régression...

J'ai envie d'en voir plus. Et donc, je le relève, après l'avoir un peu pris entre mes gros bras, pour le consoler et le rassurer, puis je le pousse doucement sur mon lit : à 4 pattes, bien cambré, la croupe tendue vers moi. Son anus s'est refermé, un peu huileux. Je ne sais pas si c'est ma bite et son odeur, mon calin, ma main tripotant son sexe ou la situation et l'abandon total : Jerry bande comme un cerf...

Je flatte son sexe : comme si j'étais en train de le traire. Et je vois ses couilles qui roulent et au dessus la trace encore humide de l'étron qu'il a laissé sur la bâche transparente. Son petit trou du cul en étoile bouge, comme une bouche. Je passe ma main sous son sexe, pour palper son ventre, comme on ferait avec un animal. Et tout en le branlant à nouveau et en caressant ses fesses, je l'encourage : t'as encore envie ? Pousse... De sa raie poilue monte une odeur de sueur particulièrement bandante et je vais sniffer les poils humides qui frisent de part et d'autre de ses couilles... Jerry se tortille et pousse des gémissements de plus en plus obscènes : mais comme il bande et mouille même de plus en plus, la maitrise de ses sphincters est difficile...

Jerry grogne et se tortille : clair qu'il n'avait certainement jamais fait ça dans cette posture. Et encore moins devant un spectateur... De mon coté, je dois avouer que je n'avais pas davantage observé ainsi le travail d'un anus en gros plan en train de s'ouvrir et de se dilater pour déféquer... Jerry a un très joli trou du cul en plus : parfaitement régulier et tout rose. Je passe d'abord un doigt léger dessus, puis je descend le long de ses couilles, de sa hampe et pince entre deux doigts son prépuce. Et je tire ainsi sur son sexe pendant qu'au dessus la rondelle vibre et bouge...

C'est très excitant comme spectacle, je dois dire : j'encourage un mâle aux yeux bandés à me livrer son intimité la plus absolue, sans pouvoir de contrôle... Et Jerry pousse des râles bestiaux en faisant bouger son anus comme une bouche pendant que moi je contemple, fasciné, ce petit anneau rose et luisant qui n'a rien à voir avec ce que je découvre d'habitude quand je sodomise un mec... Comme quoi, on en apprend tout le temps...

Une crotte enfin... Toute petite et expulsée avec un ahanement animal. Jerry tremble et sa voix est hachée quand il m'explique qu'il va pisser... En effet, un petit filet d'urine vient asperger mon drap pendant que le petit étron qu'il a chié vient rouler sur la bâche en plastique. Pas d'odeur heureusement et par contre le bruit de la défécation est franchement indécent.

L'anus vibre toujours comme une bouche en crachant des petites crottes et en même temps, je vois la bite lâcher des gouttes de pisse. Je prends des photos en encourageant le jeune mec obscène par la voix et en caressant aussi ses pieds nus, moites et humides entre mes paluches. Je crois que je n'ai jamais fait un truc aussi libre et intime... Et j'éprouve une sorte de tendresse un peu paternelle pour Jerry qui se laisse ainsi aller et se donne à moi sans aucune pudeur...

D99 - Crotte

Ses gémissements saccadés sont d'ailleurs hyper excitants : un mélange de plainte comme s'il souffrait et de relachement de sportif, en soufflant après l'effort. Comme s'il était un chien en train de faire ses besoins devant son maître, ou un enfant sous la protection d'un adulte, Jerry pousse sur son ventre, sur son cul et pisse même, dans une perte totale de dignité... Et je dois dire que ça me file une trique d'enfer de voir son anus expulser des petites crottes sèches qui viennent rebondir sur ses pieds nus.

Jerry halète maintenant : le long colombin qu'il vient d'expulser a des airs de bite ou de gode. Et je remarke qu'en plus ce sont ses pieds nus qui rythment ses efforts. Fini ? Jerry se crispe en entendant ma voix : je crois bien qu'il est en train de piquer un fard en se recroquevillant sur lui même pendant qu'un ultime étron sort de son anus. Je lui torche le cul avec du papier toilette : il est totalement à moi. Et je réalise alors en caressant ensuite ses fesses et en allant aussi palper son ventre que Jerry recommence lentement à bander.

J'ai vite roulé la bâche, pour éviter toutes les odeurs. Et j'ai enfilé une capote : cet anus totalement exhibé me donnait trop envie de m'y enfoncer maintenant. Le plus paradoxal est que j'ai eu du mal à enculer Jerry : son trou était serré et rétif. J'avais beau avoir la bite raide et dure au maximum, une envie de le prendre totale et impérieuse, j'avais beau avoir inondé sa raie velue, sa rondelle et mon chibre de gel et avoir Jerry docile et obéissant en posture de jument en attente d'étalon : ça rentrait pas ! Jerry ne s'ouvrait pas... J'ai donc fini par me coller à lui, avec les poils de mon torse et mes pectoraux plaqués contre son dos, le shooter au poppers et le maintenir alors de force... Et le prendre ainsi sans pitié, chauffé et en même temps un peu honteux de sentir son anus se crisper sous mes coups de reins de barbare et de l'entendre gémir de douleur... Un viol et une saillie animale...

J'ai aimé le prendre ainsi : soyons honnête... Le violer physiquement en me concentrant sur mon plaisir. Mais j'ai fini par me retirer... Jerry ne bouge pas et reste immobile toujours dans la même position, à 4 pattes... Je vais alors caresser ses panards moites et déposer un bisou dans le creux si sensible de la plante des pieds.

Nous sommes face à face et je me branle tout en pognant Jerry. Son sexe est poisseux d'excitation dans ma main et je sens même son odeur monter à mes narines. Je me suis approché et en lui interdisant de se toucher, j'ai commencé par approcher mes lèvres. Pour une pelle profonde et baveuse, à pleine bouche... Et j'ai juté le premier : un geyser de foutre qui est tombé en pluie sur mon drap rouge et a aspergé ses cuisses et son ventre... Et ainsi arrosé par ma semence, ma langue enfoncée dans sa bouche totalement investie, Jerry gémissait et ondulait des reins sans plus aucune pudeur pendant que je le masturbais. Puis il s'est cabré et a jouis à son tour... Je me souviens avoir eu les poils de mon avant-bras poisseux de son sperme... Ensuite ? Un tout petit calin et hop ! Dans mon entrée... Pour retirer son bandeau, retrouver son costard. Et repartir... Pour revenir un jour ?