PHOTOS - TRONES (et sièges) 3 - Fauteuils de torture ?

C'est vrai quoi : les trônes dorés, imposants, lourds, sculptés et tout capitonnés ou les gros sièges en cuir bien joufflus, les élégantes chaises de style "Louis", les méridiennes à la ligne design ou les fauteuils clubs aux assises bien profondes, c'est très joli pour installer dessus un beau mâle plus ou moins dévêtu... Mais en ce moment, j'ai le blog causeur et plutôt hardos... Et donc, je ne résiste pas à la tentation d'aborder la question du fauteuil moins meublant, moins décoratif et confortable : mais plus fantasmatique. Le siège de torture : graaaaaaa. Le siège n'est d'ailleurs pas l'élément le plus marquant sur cette photo, mais plutôt le gars tout nu assis dessus et solidement ligoté et baîllonné de cuir. Et aussi le décor inquiétant, moitié cabinet de dentiste, moitié salle d'opération... Avec tables de métal, bocaux flippants, sol en terre battue, gros projecteurs aux allures de cyclopes et lumière froide. Et pour un toubib fou (et homo), bien entendu...

La série suivante reprend un peu le même cadre de local abandonné angoissant, avec cette fois un vrai fauteuil de dentiste sur lequel est saucisonné avec des cordes rouges (très joli, très élégant) un sublime jeune mec poilu entièrement nu lui aussi. Et manifestement en train de sortir des vaps...

Le bourreau est du genre para-militaire (voire para tout court), ce qui est toujours une bonne idée et torse nu comme il se doit, il ricane tout en faisant des trucs entre les cuisses du pauvre jeune mâle maintenant bien réveillé et hurlant et dont les pieds nus frétillent. De rage, de colère ou de douleur ? Mais pour ça, c'est vous qui voyez...

Le fauteuil on ne le voit pas ? Ben c'est vrai, mais par contre le supplicié on le découvre bien et non seulement c'est un mâle, mais il est aussi superbement bien gaulé. Et ce qui le fait beugler à pleine voix ? Chatouille ou torture sur un de ses panards, manifestement...

Le final est plus classique, je vous le concède. Mais pas moins bandant en fait. Car le beau prisonnier maintenant détaché et totalement maté subit les derniers outrages en se faisant défoncer le fion par le militaire en rut (dont le statut de soldat n'est plus indiqué que par ses pompes). On ne lui laisse pas le choix, du reste. Et pour ça le pauvre jeune gars est plaqué de force sur le fauteuil noir : vous voyez bien que mon message du jour est hyper cohérent...

(A SUIVRE...)