PHOTOS - FOUETS & CRAVACHES 8 - Enventail de corrections...

J'ai parfois l'air gentil. Mais parfois seulement et si je n'ai pas un fond sadique, si je suis plutôt un bon gars qui n'aime pas faire mal, ça n'empêche pas qu'il faut AUSSI savoir corriger les bâtards récalcitrants. Au cuir ? Il y a d'ailleurs des variantes et des graduations dans le genre cuir contre cuir. La fessée, pour commencer... Si elle est sévère, comme sur cette première photo (ça c'est du cul rouge et gonflé) elle a un terrible inconvénient : elle fait mal aux mains...

On peut donc passer à un dressage tout aussi humiliant, tout aussi brutal et sonore, mais plus facile et confortable pour le master. La simple lanière de cuir d'une ceinture. C'est vrai que pour le bâtard, ça chauffe et ça déchire, mais faut savoir. Et puis une correction au ceinturon, c'est un fantasme, non ? Sur le dos, le cul, les couilles. Voire même sur la plante des pieds ?

La cravache est l'accessoire le plus classique : dressage d'un animal, lanière qui fouette l'air avant de s'abattre et puis c'est un joli objet. Ben quoi ? Et donc les amateurs de fessées adorent le paddle : une raquette de bois percée de trou. Et cet objet si gentil avec son air de planche à découper, ben c'est du vrai vrai brutal en fait. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences... Et si le paddle est en cuir, ben ça donne... comme sur la photo ! Surtout si le paddle vient cingler une zone déjà à vif... Hardos !

Ce qui compte au final : c'est ça... SChlachhhhhhhhhh Une paire de fesses mâles (et sublimes) mises à nue et striées de marques rouges et brûlantes...

Et si en plus le bâtard très macho est arrivé avec un uniforme de cuir, c'est un vrai plaisir pervers après sa correction, de découvrir  son cul écarlate et tuméfié, mis en valeur par ses chaps. Avouez qu'il est excitant, ce beau mâle musclé vu de dos, tête basse et les fesses marquées de rouge... On ne sait pas s'il regrette de ne pas avoir de fond de culotte pour cacher sa honte ou si c'est pas mieux d'être ainsi cul nu tellement il a la peau en feu et à vif...

(A SUIVRE...)