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GOTIKUS - HardGayWorld
19 mars 2014

PHOTOS - BEDS & DODOS 10 - Ecartelés sur un plumard...

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais en général un lit a 4 coins, voire 4 pieds. Et étrange coencidence, un mâle(en général aussi) a 4 membres : deux bras plus deux jambes. Si, si... Sans parler du membre viril, bien entendu... Alors pourquoi justement ne pas ligoter un beau mec sur le dos, écartelé et livré comme ça ? Hein ? Yeux bandés et bite à dispo, mais sans bâillon : la bouche doit aussi pouvoir servir comme on va le voir bien vite...

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Tout nu avec des cordes et un foulard sur les yeux, c'est bien. Mais on peut aussi vouloir plus de décorum...  Et il faut reconnaître que les barreaux de métal du lit façon prison, le collier de clebs, le bandeau de cuir noir sur les yeux et les chaps mettant en valeur la nudité des cuisses et du sexe aux grosses couilles rasées, ben c'est pas mal quand même, comme packaging...

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Et ensuite, me direz-vous ? Ben voilà une troisième photo qui vous donne une réponse parfaite...

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On peut aussi donner dans un fantasme moins SM et finalement encore plus violent. Avec des relents de viol et de kidanapping. Avouez que c'est hyper excitant de découvri un militaire assis sur une chaise, baîllonné et ligoté avec du ruban adhésif, installé devant un sportif écartelé sur un lit, le bas du corps totalement nu et exhibé. Les deux hommes ne peuvent que grogner et tirer sans succès sur leurs liens... Et le balaise au crâne rasé est non seulement les couilles et la bite à l'air, mais on lui a intégralement tondu le sexe et son gland emprisonné dans un petit appareil est sollicité de manière continue, l'obligeant ainsi à bander voire à éjaculer de force... Le tout sous le regard du militaire et pour sa plus grande honte... Chaud non ?

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Et le responsable de tout ça, me direz-vous ? En effet, regarder est une chose, mais il faut aussi pouvoir profiter de sa proie, sinon c'est pas du jeu. Lui bourrer la gueule de force, comme le master précédent, c'est un bon début. Et ensuite détacher les jambes et les pieds, les relever et les maintenir en position, bien écartées, puis... ben regardez l'image, elle est assez explicite, non ?

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(A SUIVRE...)

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G
La deuxième photo du guy avec bandeau et collier cuir, bras attachés derrière la tête et chaps remporte mon adhésion.<br /> <br /> <br /> <br /> J'ai toujours accordé de l'importance à l'esthétique dans la préparation de mes esclaves.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais je compte aussi sur la solidité de mon matériel : les bracelets en cuir (poignets et chevilles) à double boucle, la chaine à maillons soudés, le collier à 4 anneaux et le bandeau à deux sangles.<br /> <br /> <br /> <br /> La robustesse du matériel est essentielle compte tenu de la suite.<br /> <br /> <br /> <br /> Quand mon objet de plaisir est enfin attaché et ainsi à ma complète disposition, les yeux bandés, je prends mon temps (plusieurs minutes) pour contempler mon travail et me préparer à la suite de la séance. Et tant mieux si, dans le silence de mon observation, l'esclave s'inquiète. Parfois il me demande même si je suis toujours là.<br /> <br /> <br /> <br /> Aussi, quand le premier coup de cravache bien ciblé tranche l'air et le fait hurler de douleur et de surprise, ma jouissance n'en est que meilleure.<br /> <br /> <br /> <br /> Ah, le regarder gigoter, tirer sur les sangles, entendre les chaines cliqueter, apprécier ses cris et ses supplications : un régal indescriptible.<br /> <br /> <br /> <br /> Vient ensuite la pose du gag-ball, bien serré pour être si efficace afin d'obtenir le silence.<br /> <br /> <br /> <br /> Reprendre la séance, cravacher, fouetter, observer les rictus du visage, voire la tête bouger dans toutes les directions, regarder les bras et les jambes tenter de se dégager pour échapper aux coups, entendre grogner dans le baîllon, deviner les cris qui s'étouffent dans la gorge... Une expérience unique et un plaisir maintes fois renouvellé.<br /> <br /> <br /> <br /> Le must : pouvoir n'arrêter quand que je le veux moi. Extraordinaire.
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