GOTIKUS EN ACTION - DENIS - 04-10-2011 - Feuke yeux bandés dans le repaire de Gotikus...

Denis vient de se dessaper dans mon entrée et il a les yeux bandés. C'est bien les plans dans la cave, les trios, les scénarios, la cire, la pisse et les cordes, les trucs hardos. Mais c'est bien aussi sans.

Denis est nu, assis sur un petit tabouret et c'est un vrai plaisir de contempler la belle bête prosternée à mes pieds, les mains sur la tête et les yeux bandés, dans une posture de soumission et d'attente franchement bandante. D'autant qu'il fait chaud en ces premiers jours du mois d'octobre, Denis a le front moite et transpire. Ses aisselles poilues et son corps musclé encore superbement bronzé répandent dans la pièce un parfum mâle drôlement sexe.

Je ne dis rien, mais je regarde : le sexe de Denis d'abord au repos se cabre peu à peu ajoutant à mon excitation. Il bande l'animal et pas qu'un peu en plus. Ses pieds nus collés au parquet avec les tétons que j'effleure devenus hyper sensibles, Denis est totalement à ma botte.

Et je dois dire que question chibre, Denis c'est aussi du haut de gamme ! Cette bite recourbée, énorme et luisante avec son gros gland.

Je me lève et en lui repoussant la tête en arrière, je caresse d'abord la gueule du mec avec ma pine, puis la lui donne à sucer. En le forçant un peu, ce qui m'excite bien. Et lui aussi manifestement, vu son érection et la manière dont il se fait défoncer la gueule de plus en plus profond jusqu'à se retrouver avec mon gland buttant au fond de sa gorge et le nez écrasé dans les poils moites de ma touffe de mec qu'il sniffe en grognant.

Je relève alors le mâle aux yeux bandés et je le pousse sur mon lit : pour m'occuper un peu de son autre trou. Mumm, ces fesses blanches et poilues au niveau de la raie, avec ces grosses couilles qui ballottent...

Je commence par humer ses fesses et son anus perdu au milieu des poils. C'est dingue ce qu'il peut sentir bon : un mélange de reste de savon puis l'odeur poivrée de sa sueur et une odeur plus animale encore et plus forte, celle de son anus que je sens pulser sous ma langue.

Forcément, on est chauds maintenant : Denis se retrouve donc à 4 pattes sur mon lit, les fesses à l'air cambrées dans un posture obscène et libre. J'adore sa peau et son odeur : toutes les zones. Je goutte la peau douce à l'intérieur de la plante de ses pieds, mordille ses orteils et je remonte sur ses mollets et ses cuisses. Puis je plaque ma bouche sur son anus poilu et je laisse ma langue frétiller au centre de sa rondelle humide et salée. Pendant que lui dévore le fondement en alternant les crachats, les effleurements et les entrées à fond de ma langue dans son anus, Denis se tord et se masturbe frénétiquement en faisant claquer ses grosses burnes...

  

Son trou lubrifié de salive s'ouvre tout de suite et il pulse comme s'il suçotait mon gland. Je commence par agacer son anus sensible pour le plaisir de entendre Denis grogner et geindre de plaisir. Je me frotte sur les poils humides de sa raie, puis je m'enfonce entièrement pour ressortir entièrement en voyant la salive et la mouille sur ma hampe. Un cul comme ça, ça se déguste...

 Putain ke c'est bon ! Son ventre est chaud et humide. Ma queue coulisse à ma guise et Denis se laisse aller en se concentrant sur les sensations. Et j'alterne les pinages brutaux où mon gland bute tout à l'intérieur, puis je ressors presque, en faisant baver les lèvres de sa rondelle. Je rentre même si profond et si violemment que Denis pourtant très propre est nettoyé de sa merde. Et je sens les jouissance à répétition de son anus sur mon chibre...

Difficile de continuer comme ça : Denis est pas loin de juter. Et quand je me plaque sur son dos, en frottant mon torse poilu et que je lui demande s'il veut mon jus, il beugle et je l'entends arroser mes draps pendant que je me vide les couilles en lui. Des jets puissant qui vienne du fond des burnes et me font trembler les jambes. Je me demande même comment j'ai pu prendre une photo !

J'ai encore mon appareil à la main. Et on est des grands pervers faut dire... Denis a éjaculé, mais il continue pourtant à se branler encore. Et toujours les yeux bandés, il ne change pas de posture : l'idée que je vais prendre en photo son trou dégoulinant de foutre continue à le chauffer... Son anus brille et je ne résiste pas à l'envie d'aller le humer, comme un animal...

Denis pousse sur son trou : un filet se semence s'échappe et vient goutter sur mon parquet avec un bruit mouillé. Son anus continue à vibrer et je vois le beau mâle au cul blanc être agité de soubressauts. Putain, c'était un vrai orgasme partagé...

On a fait une petite pause, histoire de souffler et de fumer une cigarette. Pas longue la pause : Denis et moi on récupère vite. Et puis après une première jute, la suivante est encore meilleure et on était encore chaud. Je ne laisse pas à Denis le temps de terminer son whisky : je lui bande les yeux (avec un autre foulard, noir celui-là, on avait paumé le précédent) et je recommence à m'occuper de son cul. Après que Denis soit passé réparer les dégâts, je vous rassure. Mais en tout cas, ma langue, puis mes doigts et au final ma pine dans sa rondelle encore ouverte et totalement réceptive procure au gars prosterné fesses en l'air un sacré panard : il grogne de plaisir sans lâcher son chibre raide et collé contre son ventre...

Hum, c'est vrai que les fois suivantes c'est encore plus top : une saillie brûlante, dans le cul lubrifié par mon foutre. Et une nouvelle monte longue et planante (le whisky) avec un orgasme en simultané...  Je regarde le trou luisant et dégoulinant, bavant du jus, les grosses burnes de Denis, maintenant bien vidées. Finalement, on n'a pas toujours besoin de trucs compliqués avec des chaînes, des ordres et du cuir, avec des caves moisies et des scénarios alambiqués pour s'éclater, hein ?

FIN