PHOTOS - OBJETS SEXUELS - Mâles montés par des femmes...

Un homme objet sauté par un mec : c'est bandant. Mais c'est peut-être plus humiliant encore si son violeur est... une violeuse ? Car alors vient s'ajouter l'idée que la virile victime est un hétéro et que dans le retournement de la situation, il se retrouve dans la situation d'une femelle. La vexation suprême non?

Cette belle bête attends, ligotée de cordes et de cuir, dans une posture animale, bâillonné et entièrement nue. Dans le décor bandant d'une sorte d'entrepôt. Comme une simple marchandise.

On imagine que ça fait un certain temps que le beau poilu patiente ainsi, avec son sexe et ses couilles qui pendouillent dans le vide, cadenassées par un cockring de métal. Et surtout avec son cul et son anus exhibé... La plante de ses pieds, ses fesses, son dos : sa docilité est aussi maintenue par la possibilité d'une correction cruelle.

 

Rouge de honte et de colère ! Le poilu se tord dans ses cordes pendant que la dominatrice remonte ses cheveux et lui explique d'une voix qu'on imagine bien sucrée le sort qui l'attend : il va se faire baiser, sodomiser, sauter, piner, défoncer, saillir (j'ai du vocabulaire, mais on va arrêter là)... Et ça commence par l'examen humiliant de ses fesses velues et de son trou du cul : on croirait entendre les grognements de colère, de révolte et de honte du mâle ligoté avec art. Ou ses supplications ?

  

Le plus dur est pourtant à venir... L'anus est serré et la dominatrice est perverse autant que sadique. Pas de préparation pour le petit trou crispé de l'hétéro ligoté. En plus avec une ceinture gode, pas de sensations du côté du manche : donc une sodomie directe ! C'est gonflé quand on sait combien les minettes attachent du prix aux préliminaires...

Si on avait des doutes sur la violence de la pénétration, il suffit de contempler le format du gode s'enfonçant dans la rondelle serré. Et ensuite la tête du beau poilu sodomisé en force...

  

L'objet sexuel suivant est très différent : un petit jeune à genoux sur une moquette, les mains attachées dans les airs. Et le début du dressage commence par la lubrification par sa bouche du gode qui va le défoncer. Très humiliant, ça. Sa partenaire l'oblige d'abord à tirer la langue, puis à lécher et sucer le sexe de caoutchouc.

  

Le petit jeune libéré de ses liens est maintenant à 4 pattes sur le sol : et il beugle et couine en se tordant. Il faut dire que le gode qui le pénètre n'y va pas en douceur, une fois encore...

  

C'est bandant, non, de voir une femme saillir un mâle ? Le monter comme un homme pendant qu'il se trémousse et supplie, utilisé par son trou "le moins lisse"... Et sans bander bien entendu : normal, sinon ce serait pas un viol. Pffff : z'êtes cons !

(A SUIVRE)