GOTIKUS EN ACTION - XAVIER - 11-2006 - Salope en chaleur...

Il était tard ce soir de novembre 2006. Et j'avais bien senti que Xavier était en rut grave... Il n'habitait pas très loin, se déplaçait en scooter et une demi-heure plus tard débarquait chez moi, rapidement tout nu, l'oeil brillant. Et les pupilles un peu dilatée aussi, il m'a semblé... Xavier est maintenant à 4 pattes sur mon lit. Ses couilles rasées de frais se balancent entre ses cuisses : avec son petit cul tendu en arrière dévoilant sa rondelle rose et sa posture, Xavier est un vrai chien. Ou une chienne plutôt, en manque de mâle...

Ça tombe bien : je suis un mec. Et donc je commence par laisser Xavier se chauffer et s'exhiber. J'adore quand un mec viril comme lui se laisse aller et devient de plus en plus salope, perdant toute pudeur pour se cambrer, montrer son anus, se branler et titiller ses zones érogènes ... Celles de Xavier, je les connais bien maintenant et je sais que les pieds en font partie...

Les pattes en l'air et l'oeil lubrique, Xavier frotte ses pieds sur la toison de mon torse et il m'obéit aussi. Je le vois effleurer sa rondelle tout en branlant son chibre.

 Xavier est plein de zones érogènes et pendant qu'il se charge de certaines, comme son anus, ses couilles et sa bite, je m'empare de ses pieds nus et je les mords alternativement. Il faut reconnaître que l'animal à de très beaux panards et non seulement ça m'excite, mais lui ça le fait d'un coup franchir un nouveau cran dans la chiennerie !

Il se doigte sans plus de pudeur, allant même jusqu'à lécher les doigts qui sortent de son anus. Je bande maintenant grave et Xavier tire sur ses couilles pour mieux me montrer sa rondelle rasée, humide d'excitation. Je mordille ses orteils : la salope se cabre encore plus, réclamant ma bite de tout son corps...

C'est dingue : il mouille du cul ! Et son anus en général si serré et minuscule s'est ouvert sous la pression de ses doigts comme une vulve.

Forcément, j'ai une trique d'enfer... Et je crois que sur cette photo ce que réclame Xavier est assez facile à deviner ?

Le trou de Xavier pattes en l'air entre mes cuisses est offert. Je pousse mon gland trempé d'excitation : pas de lubrification, même pas de salive... Je sens l'anus pulser autour de mon gland, pulser et mouiller...

Avant de mettre une capote, je commence sans : Xavier se tord d'envie de se faire défoncer et ses pieds nus se frottent contre ma barbe. La salope : il tire sur ses tétons, beugle des obscénités et son trou de balle est agité de spasme, comme s'il suçait mon gland.

J'ai mis une capote et je me suis ensuite défoulé comme un vrai bourrin. Les orteils de Xavier coincés entre mes dents ou ses pieds nus plaqués contre mes pectoraux poilus, je balance des coups de reins monstrueux en faisant tanguer le mec complètement parti. J'ai pris le temps de faire une photo, histoire de garder un souvenir de cette baise de plus en plus sauvage. L'heure tardive sans doute ? J'ai mis longtemps à jouir pendant que Xavier bandait et surtout mouillait. Je me souviens très bien du limage : trois bons quart d'heures en alternant la violence et la sensualité. Au final, Xavier se tordait de plaisir, le fion explosé et il a fini par se juter dessus au moment où un torrent de sperme remplissait la capote...

Il est quatre heure du matin et je viens de prendre une douche chaude : je ruisselais de sueur. En poussant la porte de ma salle de bain, je suis d'abord frappé par l'odeur de stupre, de transpiration et de foutre qui emplit les lieux. Et je me marre aussi , car je découvre un joli spectacle. Xavier épuisé, couché tout nu de tout son long s'est endormi. Il a un sourire béat : repue la salope ?

FIN