GOTIKUS EN ACTION - MARTIAL 1 - 26 novembre 2006 - Dressage à l'arrivée - GOTIKUS

25 janvier 2012

GOTIKUS EN ACTION - MARTIAL 1 - 26 novembre 2006 - Dressage à l'arrivée

Un nouveau souvenir aujourd'hui... Un souvenir ancien, en 2006, mais d'un super moment. Martial est un joli mec brun, un provincial chaud bouillant et manifestement à l'affut de nouvelles sensations. C'est mon pote Chris, un pro du bondage qui l'avait trouvé et me l'avait livré. Comme on fait un cadeau. Comme une bouteille ou une friandise à se partager. En plus, pour une fois, j'avais un photographe pour s'occuper d'imortaliser le dressage du petit bâtard et je pouvais donc me concentrer... sur mon plaisir, hé hé hé...

Les clefs sont sous le paillasson et nous entendons la porte d'entrée s'ouvrir nerveusement, puis claquer fort en se refermant. Un nerveux... Les ordres donnés par l'entremise de Chris sont très clairs : à poil avec seulement un slip blanc troué au niveau de l'anus. Et ensuite yeux bandés et à 4 pattes. Chris et moi discutons tranquillement en laissant Martial patienter dans l'espace réduit de mon entrée. Puis, je vais enfin chercher le petit bâtard : comme on flatte un chien, j'inspecte un peu la marchandise tout en le faisant entrer à 4 pattes dans la pièce.

Un joli lot : Martial avance, le corps déjà humide malgré le froid relatif de mon entrée. Je pense que ça doit se bousculer dans sa tête. Les sensations du parquet sous ses mains et ses genoux, pas de repères visuels et par contre les odeurs et les sons décuplés par l'obscurité du bandeau et la perte d'un sens. Le fait de nous entendre aussi et les termes à la fois flatteurs et humiliants que nous utilisons, la voix de Chris qu'il connaît et la mienne plus grave et encore inconnue : tout ça le perturbe et l'excite à la fois. Je le sens un peu rétif encore et c'est donc en le matant à la voix et aussi un peu à coups de pieds dans le cul que je le conduit dans une zone un peu dégagée de mon foutoir.

Première chose à faire : le dresser et le traiter en clébard. Et je commence donc à lui fixer autour du cou un lourd collier de cuir clouté et pourvus d'anneaux. Un collier de force pour chien. Martial sursaute en sentant le contact froid du cuir autour de son cou et se rebiffe vaguement. Deux trois insultes bien senties le remettent à sa place. Martial baisse la tête, pendant que derrière lui Chris lui fait rectifier la position, les cuisses écartées davantage.

Je fixe des menottes de cuir à ses poignets. Pendant ce temps, mon complice a tout le loisir de contempler la superbe croupe de notre jouet, moulée dans un boxer blanc. La raie plus sombre de son cul apparaît sous le coton blanc, très bandante. Et le jeune mec a obéis : son slip porte un trou au niveau du fond de sa culotte.

Mal calculé : volontairement ou par erreur ? Le trou de son caleçon est trop bas par rapport à son anus, tout petit aussi. Chris l'agrandit un peu, mais l'ouverture pratiquée par Martial, comme le sous vêtement qu'il a choisi, très protecteur montrent une timidité et une réserve drôlement bandantes. Pendant que Chris fixe des menottes de cuir aux chevilles de notre esclave, je claque un peu ses fesses pour l'obliger à tendre davantage son postérieur et se cambrer.

Joli mec y'a pas à dire. Avec ses courroies de cuir aux mains et aux pieds, son lourd collier, son bandeau noir et blanc et ce boxer moulant, c'est un joli objet sexuel. Et en plus, même s'il obéis (pas d'autre choix du reste : deux gars pas commodes et en rut sont prêt à lui tomber dessus) on sent une réserve et presque un fond d'agressivité particulièrement excitants. C'est un vrai mec et l'humiliation de sa posture le trouble et le rend rétif.

Chris prend des photos et je l'entends ensuite ricaner : son doigt passe par le petit trou ouvert dans le caleçon et caresse la peau nue découverte. C'est pas ce que j'espérais, on ne voit pas le trou du cul, mais la zone juste en dessous : entre l'anus et les testicules, une partie toute douce portant au milieu une raie sombre. En sentant le contact sur sa peau, Martial se cabre et grogne. Mais accroupi devant lui, je le fait tout de suite se tenir tranquille en tirant sur son collier de clébard et sur les mousquetons fixés dessus.

La gueule de Martial se retrouve plaquée sur ma braguette : il doit sentir sous le tissu rugueux de mon jean mon chibre maintenant bien raide. Et avec toujours un doigt passé dans l'un des anneaux du collier, je le guide : pour qu'il hume et frotte sa bouche sur mon entre jambe de mâle. Je le laisse sniffer ma bite à travers le tissu, puis j'ouvre lentement ma braguette penché en arrière contre mon lit. Martial hume mon slip et ensuite sa bouche et son nez se retrouvent en contact avec mes poils. L'excitation me fait mouiller du gland.

Et Martin grogne soudain en découvrant ma bite humide avec son nez et ses lèvres. J'essuie mon gland sur sa bouche et sous son nez. L'odeur et le goût : ce sont les seuls sens encore à sa disposition : il veut toucher, mais je l'empêche en réunissant ses menottes avec un des mousquetons. C'est pas au clebs de prendre des intiatives, non mais !

Je me relève, les jambes écartées, bien planté, les reins creusés et le ventre en avant : comme un mec qui va pisser. En le maintenant de force par son collier, j'oblige mon petit bâtard à se redresser lui aussi, puis en lui ouvrant d'abord la bouche avec mes doigts, en lui faisant sucer mon annulaire, une intrusion bien humiliante, j'enfonce directement ma pine encore endormie entre ses lèvres.

Martial gémit, le front luisant de sueur, accroupi sur ses talons. Ben oui : peu à peu mon chibre gonfle dans sa bouche, en mouillant sa langue. Notre spectateur s'est mis à bander lui aussi : Chris prend une photo, puis il se penche ensuite pour venir tâter l'anus serré de notre prisonnier sous son slip... Martial se tortille : avec ses mains libérées, il tente de comprendre ce qui lui arrive, puis de se toucher : mais je l'en empêche, pas commode.

C'est bien de jouer la sensualité, mais je suis aussi un bourrin à mes heures perdues. Et puis la jolie tronche virile de Martial me chauffe : je bloque fermement sa tête entre mes pognes, et... je bourrine. Ma pine maintenant bandée à bloc vient buter au fond de sa gorge et le petit mec prosterné étouffe et bave tout en se faisant piner la gueule à fond et de force. Ses pieds nus se crispent et frappent le sol, les anneaux de son collier et de ses menottes tressautent et rythment les allez et venues de mon chibre dans la bouche chaude.