GOTIKUS EN ACTION - MARTIAL 2 - 26 novembre 2006 - Sodo directe...

(Suite) Chris me laisse faire et je réalise qu'il prend son pied à me regarder dresser Martial, le petit batard qu'il m'a amené. Bandant de défoncer comme ça à coups de reins la jolie gueule de notre objet sexuel. Dans mon dos j'entends le bruit des photos prises par Chris et ça accentue aussi mon excitation : moi c'est la bouche de Martial que je prends... Et bien à fond de gorge, d'ailleurs.

Pas un mauvais pompeur, le petit provincial... Le fait de ne pas m'avoir vu, de ne pas savoir où il est et d'utiliser son odorat et son goût comme seuls sens le désorientent et en même temps l'aident manifestement à se lâcher. C'est à la fois plus cérébral et plus sensuel : tout ce qui lui faut. En plus sa tenue (c'est à dire pas grand chose : à poil avec un slip troué ) et les accessoires (bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets, collier de clebs et bandeau) me chauffent à mort. Pour sentir son front sur ma peau, j'ai relevé mon tee shirt : mais c'est pas une bonne idée. A cause de la photo, bien entendu : il forçait un peu trop sur le Nutella en 2006, le Gotikus, et ses tablettes de chocolat étaient à perfectionner. Passons...

Sur les photos de Chris on découvre aussi ma pine : grosse elle aussi. Et raide. Je relève donc le petit gars et sans lui laisser le temps de comprendre, de réaliser ou même seulement de se repérer un peu, je le pousse sur mon plumard. Le cul bien cambré, les fesses offertes, avec au centre ce trou obscène et indécent qui marque la place de son anus. Enfin, pas exactement : il a mal calculé son coup et on voit juste la zone en dessous. Je ne vais pas pouvoir le sauter direct à travers son caleçon, c'est con...

Chris et moi, on est assis et on contemple en se marrant Martial immobile : j'ai rectifié le trou et maintenant une ouverture plus large fait comme un cible pour se faire tirer. Le jeune type a du mal à rester sans bouger. Il écoute, se tortille, se tripote un peu. Une claque retentissante sur son cul et une bourrade dans le creux de ses reins le matent un peu et l'obligent à se cambrer et à nous offrir ses fesses dans une position bien femelle.

Mais, il est aussi temps de le faire taire et de lui faire comprendre que s'il ouvre sa gueule, c'est à la rigueur pour gémir, mais avant tout pour sucer. Mon bâillon-mors vient d'un coup se plaquer dans sa bouche, solidement fixé à l'arrière de sa tête. Martial se cabre, grogne et comme on dresse une jument rétive, je tire un peu sur les rênes fixées aux gros anneaux du harnais. Au passage je pose une capote dans le creux de ses reins : faut s'oraniser avant le saillie, hein ?

Je dois dire qu'obliger ainsi le petit gars ahuri à rectifier sa posture et à relever la tête en cambrant son cul et le tout en tirant sur les lanières de cuir de son mors est particulièrement bandant. Humiliant pour lui, mais pour Chris et moi très bandant. Martial ne peut plus qu'obéir et grogner tout en bavant sur son menton...

Après avoir un peu joué à le dresser comme un bourrin, je le pousse ensuite en avant : pour le voir me tendre son cul par force... Ses fesses sont collées au tissu rêche de mon jean et tout en sifflotant, je m'occupe de déballer la capote. Martial a tous les sens aux aguets : après avoir pris la photo, Chris va un peu tâter son paquet : il bandouille déjà, le petit bâtard...

Hummm c'est top : je pousse mon gland couvert de lubrifiant sur l'anus serré. Et joli, tout rose et tout petit : Martial se tortille, grogne et il écoute Chris à ses côtés qui se marre en contemplant la saillie. Je suis le bon gars, moi : j'ai hyper envie de m'enfoncer d'un coup dans cette petite rondelle crispée, mais je fais gaffe. S'agit de pas l'abimer, le bâtard : on va ouvrir son anus bien comme il faut...

Mes paluches plaquées sur le coton blanc écartent les fesses musclées comme on ouvre un fruit. Et je laisse coulisser mon chibre dans le trou chaud et peu à peu de plus en plus ouvert. Il va pas tarder à mouiller du trou...

Bon, c'est pas tout ça, mais je suis un bourrin moi. Et je me fais donc du bien dans ce cul de mec : de plus en plus fort, de plus en plus profond. Et longtemps aussi... Martial beugle, se tord et je sens même ses pieds nus venir s'agripper à mes mollets pendant que je le défonce à grands coups de reins. Martial pousse des gémissements saccadés en dépit du bâillon et ça tête cogne même sur les étagères : c'est vrai que je le grimpe un peu brutalement peut-être ?

Martial vient d'ouvrir le flacon de poppers. Il aurait pas l'habitude de se faire sauter ? Possible, mais en tout cas le poppers fait sauter les verrous. Martial devient tout rouge et souffle : et d'un coup, sa rondelle serrée pulse et s'ouvre en serrant ma pine. Je suis tellement enfoncé à fond dans le mec que mes couilles sont écrasées entre mon jean et le caleçon blanc. Et aussi que ça me fait sortir le bide ?

La salope : on va dire que c'est le popper hein ? Parce que d'un coup, j'ai senti le fion de petit mec se dilater et frétiller comme un fleur. Et Martial beugle des insanités maintenant, complètement parti, le corps secoué par mes coups de reins de brute en rut (joli comme formule, non?). La pute ! Martial jouis du trou de balle ! C'est bon de sauter un trou de mec un peu serré, de le violer et de l'ouvrir en force... Mais c'est encore mieux si le mâle sodomisé prend son pieds ensuite et se lâche. Sentir les orgasmes se succéder au bout de sa queue : il a un super bon cul, le petit cadeau de Chris ! Et on va encore bien s'amuser, c'est clair : j'ai testé ses deux trous de mec, mais il y a encore plein de choses venir... Et pour notre petit bâtard aux yeux bandés livré à deux mecs, à découvrir...

(A SUIVRE)