PHOTOS - BONDAGE 9 - Bondage et baîllon...

C'est bien joli (et décoratif) de ligoter un bonhomme de la tête aux pieds. C'est bandant, excitant et aussi une manière de s'occuper les mains en attendant de s'occuper d'autre chose. Ainsi ce beau musclé est totalement maîtrisé au point de ne plus pouvoir bouger que les orteils (enfin j'imagine car on voit pas ses pieds sur la photo) et aussi bouger le nez et les oreilles. Mais il y a un problème : le bruit ! Pas celui des liens bien entendu : le bruit de celui qui est dans les liens... En général, c'est pas silencieux un mâle saucissonné contre sa volonté pour se faire torturer et violer... Et même s'il est d'accord, il peut avoir le plaisir très sonore...

Ainsi le beau gars a une corde passée entre les lèvres : il peut donc grogner, beugler, couiner, gémir, supplier, mais pas déranger les voisins ou les passants par des hurlements intempestifs. Car faut bien dire, j'imagine que ça peut être très dérangeant pour la libido, voire pour l'érection si la concierge, les flics ou autre se pointent pendant qu'on contemple sa proie se tordre sous la torture de ses tétons (décorative aussi, trouvez pas ?)...  Enfin, faut pas généraliser : tout dépend de la concierge, des flics ou autre, bien entendu.

Une corde comme bâillon, c'est à la fois très esthétique et très humiliant. Et pratique aussi (la victime peut mordre la corde et ainsi un peu se défouler : je rappelle qu'elle est ligotée et donc un peu contrainte à l'immobilité, voire à l'ennui). Mais c'est pas très efficace comme insonorisation. Le bâillon-boule est déjà mieux. Il est mignon, le petit gars dans les draps froissés : pas content, mais mignon.

Dans un souci d'esthétique, on peut faire de jolis contrastes. Le contraste entre une boule rouge et des cordes noires, par exemple. Ou le contraste entre un corps clair mais bronzé et un joli cul rond tout blanc. Suffit d'ailleurs de pas grand chose pour donner un peu plus de rouge et de couleurs à ce fessier un peu pâle... En plus bâillonné comme il est, ce mignon petit lot se tortillant comme un ver (et nu comme lui. Ben oui, il est nu comme un ver, faut tout vous dire) ne pourra pas protester d'une manière trop dérangeante pour l'entourage. Une chose quand même : attention, c'est bruyant la fessée...

Rien ne vaut l'apprentissage par l'exemple pour éviter les nuisances sonores (hélas toujours si courantes en ville). Avouez qu'il est sexe, ce tatoué au crâne rasé en attente sur le lit, avec un collier de cuir et sa toison pubienne comme seuls vêtements (c'est pas beaucoup)... Il est tout rouge, il a l'air un brin apeuré : d'ici à imaginer qu'il n'est pas d'accord pour la suite, il n'y a qu'un pas que nous allons franchir avec enthousiasme.

La suite ? Ben tout de suite commencer par le réduire au silence. Avec du ruban adhésif sur la bouche, il peut continuer à chercher à émouvoir son violeur par son regard, mais il ne pourra pas déranger des fonctionnaires de police ou des voisins tranquillement en train de savourer les joies d'un repos bien mérité par des appels au secours très exagérés... Par contre, il devrait faire gaffe : s'il veut conserver sa virginité anale, c'est pas très prudent de se tenir comme ça cul en l'air...

Une chose : même pas très futé et tétanisé par la trouille, un bonhomme peut avoir l'idée d'arracher son sparadrap. Ben oui : forcément. Il est donc utile de le ligoter bien comme il faut. Mains dans le dos par exemple. Et le sexe attaché lui aussi. Histoire de se défouler un peu et de faire de l'humour (oui, je sais : c'est pas terrible. Faire des noeuds sur le noeud. C'est même franchement lamentable comme humour). Maintenant redevenons sérieux : on va pouvoir jouer. Ce regard affolé et suppliant, c'est drôlement excitant...

Ben voilà ! Il est pas beau ce paquet cadeau ? Un joli brun réduit au silence par un linge, les pieds nus serrés l'un contre l'autre, le front crispé pas la peur et le fessier offert. La position défend un peu le cul et le sexe, mais c'est justement ça qui est bandant : on retourne le prisonnier et on en fait tout ce qu'on veut : léchage, fessée, ceinturon, doigtage, pompage, bisoux. C'est à vous de décider. Et si le captif se tortille, hurle et proteste, fou de rage, c'est encore mieux, bien entendu. Mnooonnnn, msalauud, ouiiiinnn, MMMMM : je vous montre un peu ce qui sort des lèvres réduites au silence par un bâillon-boule de ce joli blond attaché sur le ventre... Des pieds au visage, tout montre sa colère : top !

  

Alors bien entendu, faut ensuite savoir quoi faire de son objet sexuel. Bien entendu. Si déjà grâce à un bâillon, le mec attaché ne peut que grogner, chialer, soupirer, geindre etc. on n'a pas à se préoccuper du monde extérieur. C'est déjà beaucoup. On peut ainsi ensuite se concentrer sur son plaisir (le sien et le sien ; c'est à dire le votre et celui du mec. C'est plus clair comme ça ?). Par exemple... le sodomiser de force ? Avec un bâillon-mors, c'est bien aussi, au fait (sparadrap, chaussette, baîllon-boule, corde, foulard etc.). Ce mignon gars ligoté sur le ventre a l'air de drôlement dérouiller sous les assauts brutaux de Tyler Saint... Avec le mors entre les lèvres, il se fait... couvrir ?

Le suivant aussi, mais retourné sur le dos. Jambes en l'air et cuisses totalement écartées. Sa bite est attachée, ses bras sont tendus vers le haut et il grimace sans pouvoir faire autre chose que scander en gémissant les bourrages de son anus ouvert et pris de force. Cela dit, vu le local où il se fait violer - manifestement un brin à l'abandon - on peut penser qu'il y a peu de chance de perturber les voisins avec ses hurlements.

En même temps, on sait pas. Sur cette seconde photo, on découvre le reste de l'endroit : une sorte de grand entrepôt en sous sol. Sans son bâillon-boule, les beuglements du joli gars en train de se faire sauter pourraient résonner et faire beaucoup de bruit. C'est saoulant le bruit. C'est beaucoup plus excitant d'écouter ses grognements, les ahanement de la brute qui le sodomise en jouant des hanches et le bruit obscène que fait sa rondelle humide sous la saillie... Ça pourrait suffire à attirer d'autres mâles en rut désireux de prendre la relève et la suite... C'est malin, tiens : je bande...

(A SUIVRE)