PHOTOS - JUNIOR STELLANO 3 - Chouchou - Entrepôt avec Wilfried Knight
Junior Stellano. Un sicilien, né à New York. Ben moi perso : je le trouve totalement craquant, le petit mâle poiu. C'est que mon avis, hein ? Et tout d'abord, poum poum poum (c'est le bruit de ses pas dans l'escalier, mais vous aviez reconnu) il descend dans un sous sol sombre et angoissant. Comme c'est le mec chaud (un Sicilien), Junior est déjà torse nu : miam, ce torse musclé. Et puis comme c'est aussi le gars pas coincé, Junior ouvre son pantalon et montre son slip banc. D'abord pour prouver qu'il est un mec et que le sous-vêtement est bien rempli. Puis il se retourne pendant que des méchant lui baissent de force son froc : un petit cul rond bien moulé par le slibard est ainsi mis à l'air. C'est pas bandant de découvrir comme ça le beau gars cambré collé contre un mur de briques ? Moi, ben j'aime bien les caves...
Vraiment un mâle hein : son pieu sort par en dessous son slip : un chibre raide et redressé comme une corne dans la lumière rouge du lieu flippant. Il n'a pas l'air content pourtant, le Junior. Dans l'histoire on l'oblige à se branler. Et à montrer qu'il est un mec : c'est le cas. Enfin, je veux dire : c'est manifeste que c'est un garçon. Non ?
Après ? Ben le beau (et Français, msieurs dames) Wilfried Knight est prisonnier dans le sous sol (encore un coup de la mafia Sicilienne, certainement). Et pour le réconforter un peu (le bon gars, j'ai déjà dis) et aussi parce qu'on l'oblige (c'est plus fantasmatique, je trouve) Junior vient flairer et lécher un peu le gland du mâle nu debout au dessus de lui...
Mais Junior, c'est aussi un macho : il fait donc descendre Wilfried de son estrade (où on l'avait sans doute mis en vente) et tout en se tripotant les nibars, il l'oblige à sucer son gros machin... Puis il retourne le captif et sans lui demander son avis, lui écarte fermement les fesses, renifle sa raie velue et lui titille le trou de balle de la pointe de la langue.
Et après ? Ben Junior saute direct le beau mec. On s'en doutait un peu, du reste. Ben oui : si on lubrifie, c'est souvent qu'on a dans l'idée de pistonner ensuite. Wilfried beugle et couine pas mal (il a une belle voix grave, mais bon, j'illustre). Et à 4 pattes dans la pénombre, luisant de sueur, il n'a pas d'autre choix que donner son fondement au mâle en rut, uniquement vêtu de ses chaussettes et franchement pas tendre...
Wilfried se fait couvrir comme une jument. Un beau galop dans le sous sol : pas un pédé, le Junior. Enfin si, mais bon, c'est toujours pour le fantasme, hein ?
Le pauvre Wilfried se fait mettre bien profond. Et c'est très bandant comme photo : le viril Junior, yeux clos et le visage grimaçant tournant la tête du joli barbu pendant qu'il éjacule dans son cul !
J'aime beaucoup la suite... Car les deux mecs trempés de sueur n'en ont pas terminé, hé hé hé. Elle n'est pas du genre cool la mafia Sicilienne, vous savez... Les deux prisonniers restent collés l'un à l'autre et leurs chibres aussi. Leurs chibres sont collés l'un à l'autre, quoi...
Et oui ! C'est au tour de Junior de se faire sauter ! Super non ? Les pattes en l'air, cuisses écartées, ses chaussettes sales tressautant sous les coups de reins de Wilfried, la belle bête virile expose sa raie velue et branle son sexe. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte : il gueule et profite !
J'adore cette photo : donc hop ! Je le remets en ligne pendant que Junior se fait mettre... J'ai un certain goût pour les caves, moi (j'insiste, je sais) : donc voir les deux mecs dans la pénombre sur fond de grillage, ça me chauffe.
D'autant qu'ensuite, c'est toujours aussi torride : un vrai rapport (sexuel) de mâles ! Collés l'un à l'autre, avec le petit Sicilien qui prend la tête de Wilfried à pleine pogne en lui beuglant des trucs (forcément) cochons. Genre "défonce moi, je suis une pute etc..." Avec un accent italien, américain ou pas. Ça c'est à vous de voir.
Junior roule des pelles au Français (French kiss, of course) tout en continuant à se faire sodomiser ! Rohhh j'adore ! C'est à la fois viril, mâle et tendre. Faut imaginer en fond sonore le martellement régulier du sexe de Wilfried pistonnant la rondelle poilue et humide de Junior et par dessus le bruit de leurs bouches et de leurs lèvres baveuses. Slurrrrps
Et le final ? Ben là, c'est trop top ! Ben oui : ce sont deux mecs et deux actifs. Donc les (méchants) kidnappeurs sont bien décidés à les humilier jusqu'au bout ! Et maintenant, les deux prisonniers sont à 4 pattes, réunis par un double gode ! Et ils ondulent du cul, grognent, jouent de la croupe en se godant mutuellement... Moi, ben j'aime beaucoup. La preuve : comme disait Jules César, j'ai... la gaule ?
(A SUIVRE)