GOTIKUS EN ACTION - DENIS 2 - 13 décembre 2011 - Plan pisse dans ma cave

(Suite). Denis ne bouge pas : seules ses grosses burnes et ses pieds nus s'agitent dans la buée de mon urine... Car maintenant je pousse le ventre en avant pour pisser tout mon saoul sur le beau mâle prosterné entièrement nu dans un des couloirs crades de ma cave... Pour pisser sur sa croupe tendue, surtout. L'urine coule le long de sa raie, disparaît sur un côté en martelant le carton posé sur le sol et elle ruissèle sur l'anus et inonde les poils pendant que Denis se masturbe en grognant...

Je me recule un peu pour contempler mon bâtard à mes pieds... Et c'est un spectacle drôlement excitant faut dire. Le cul tendu vers moi comme une chienne appelant le mâle, les fesses trempées d'urine, les pieds poussiéreux arc boutés dans la poussière et le carton trempé... Le trou de balle sombre de Denis exposé sans pudeur et d'une manière obscène, comme une étoile sombre au milieu de la croupe blanche contrastant avec le bronzage du reste du corps me chauffe à fond...

Je m'approche pour mieux contempler l'anus offert du mâle à ma disposition : un peu de pisse forme comme une flaque dorée sur son trou, accrochant des gouttes dorées, dans le lumière... Et comme en plus Denis continue à se masturber en faisant danser ses grosses burnes humides, l'odeur de la pisse se mélange avec les relents de moisi de la cave dans un coktail franchement pas désagréable...

Ce trou ! Tout sombre et un peu crade au milieu des fesses blanches... Je fait une photo, puis je m'agenouille : j'avais bu beaucoup d'eau et l'odeur demon urine n'est pas trop forte. Et je sniffe donc le parfum de ma pisse et du cul de Denis mélangés : j'avais jamais fait ça. Lécher un cul arrosé d'urine et un trou de mec tout juste sodomisé à fond. Denis pousse sur son anus et je reçois sur le visage des gouttes de ma pisse entrée dans son rectum... Le bâtard à 4 pattes devant moi se cambre, pousse des gémissements : une de ses mains est occupée à se masturber et l'autre tire sur ses tétines. Une chienne...

Et une chienne enchaleur : ça se couvre. Putain ! Rentrer comme ça dans une rondelle trempée et ouverte ! La minuterie s'arrête et on se retrouve d'un coup dans la pénombre. C'est encore plus chaud ! Car les odeurs, les sensations et les sons s'intensifient... Mon foutre jaillis au plus profond des tripes de Denis : un jet puissant et abondant. Et en réponse, j'entends le hoquet étouffé de Denis, de plus en plus aigu. Sur le carton crade et imbibé de pisse, un bruit d'averse résonne : Denis vient de juter lui aussi... Son trou du cul dégouline de semence...

Je me retire de son anus et un plop obscène résonne. Je vais allumer la lumière à taton... Denis n'a pas bougé et il hallète toujours à 4 pattes au milieu du couloir. Je retourne donc à ma place et je décide de nettoyer ma monture. A la pisse ! Après la jouissance, l'envie de me vider la vessie est revenue : je me lâche donc en soufflant. Denis n'a pas lâché son sexe. Se faire arroser à nouveau lui refile la gaule. En plus ça va le réchauffer...

Je découvre une coulure de semence sur le trou palpitant de Denis. Au milieu de l'urine fumante sur ses fesses trempées. L'anus s'écarte un peu et un filet de pisse vient arroser le sol : le rectum de Denis avait bu un peu de ma pisse en douche et la recrache ! Et comme je suis un vrai cochon, je me penche et je donne un grand coup de langue.

L'après-midi n'est pas terminée : elle commence tout juste même. Et il est temps de remonter chez moi.  Denis s'est relevé pour se rhabiller. L'idée de le voir enfiler ses fringues sur sa peau sale me chauffe et aussi la découverte de la mare de foutre laissée par mon bâtard sur le carton pendant que je le couvrais et jouissait en lui. Je fais une photo de l'empreinte de ses pieds nus trempés de pisse, le sol luisant d'urine. Mais sur le cliché, on ne voit pas le jus de Denis : dommage...

Denis doit commencer à avoir un peu froid maintenant... Il enfile vite son slip rouge : le tissu est rapidement imbibé de pisse. Au moment où il pose son pied nu sur la chaise pour enfiler une chaussette après s'être rapidement dépoussiéré, je découvre une large auréole humide sur son slibard, à l'endroit où se trouve son anus : pisse ou sperme ? Denis se rhabille : son tee shirt à manches longues est déformé au niveau du torse par les deux pointes dressées de ses tétons. Je ne sais pas si c'est le froid humide de la cave ou l'excitation les responsables, mais je suis vite fixé : en enfilant son pantalon, Denis a du mal à refermer sa braguette ! Il bande à nouveau. Et moi aussi du reste...

 Je jette un dernier coup d'oeil au couloir : la poussière est marquée d'empreintes de pieds nus et une marre sombre montre l'endroit où j'ai pissé. J'efface les traces de nos ébats animaux, je retourne le carton trempé. Jean, le troisième larron ne devrait pas tarder à nous rejoindre chez moi : ce n'était qu'un amuse gueule dans ma cave. Le temps de se réchauffer un peu et Denis va encore être utilisé... Par deux mâles maintenant et dans un endroit plus confortable. Comme vous le découvrirez dans deux jours...

(A SUIVRE)