PHOTOS - CRADE,BOUE & CAMBOUIS 4 - Garagistes et cambouis...

Ah, un mâle à la carrure de bête, sentant fort la sueur saine et couvert de crasse et de cambouis... Un fantasme ? Ben en fait si on y pense dans un contexte réel, non. Mais si on regarde cette photo, c'est clair que tout de suite, on est beaucoup plus intéressé, non ? Musclé, le regard mauvais, en jean gainé de chaps de cuir et surtout arborant un débardeur crade et ruiné, il est pas joli ce garagiste avec ses traces de cambouis sur tout le corps ? Bon ok : il n'est ni réel, ni possible. Tout sale, ça peut arriver, mais porter un débardeur dégueulasse et en lambeaux, déchiré au ras d'un téton, ben on voit pas pourquoi...

Même chose pour le suivant : il est top bandant, ce joli musclor, avec un de ses mains gantée, son cric à la main, ses muscles huilés et un slip frachement sale et déchiqueté subtilement comme seul vêtement. Bosser dans un garage, c'est vrai que c'est certainement salissant, mais bosser en slibard en se roulant dans le cambouis, je me demande si c'est vraiment pro...

En fait, il semble bien qu'il y ait des constantes dans l'érotisme masculin. Et pour les gars musclés, l'une est... le garagiste. Donc : musclé parfaitement, mais glabre, une main gantée ou portant un linge. Et bien entendu totalement nu à l'exception d'un slip blanc porté et moulant, mais plus blanc du tout... Et la note finale ? De la poussière mate et des marques noires et huilées de cambouis sur le torse, les abdos et les cuisses, disposées d'une manière sensuelle et esthétique. Mais totalement improbables, même si on fait sa sieste dans un moteur. Ne boudons pas notre plaisir : il est quand même hyper excitant ce joli gosse en slip avec son corps sale et luisant, non ? Bien plus que s'il fleurait la savonette...

Même chose pour ce beau brun ténébreux : ses muscles sont huilés et en plus, son visage est marbré de cambouis. Encore un garagiste ? Et c'est vrai que la manière dont son corps superbe est sali est très excitante : il sent le mâle et la sueur, ce beau mec. Détail aussi très sensuel : la braguette de son pantalon sombre ouvert en triangle juste à la limite des poils de son pubis. De la poésie pure...

La photo suivante est cetes un peu moins artistique, mais plus réaliste. Enfin, là encore il faut faire des réserves. Des cochons, ces deux garagistes, non ? Si l'un a encore son slip blanc, l'autre est cul nu. Et ils ont lutté et se sont vautrés dans le cambouis, c'est clair. Mais surtout, c'est bandant et c'est le plus important...

Le cambouis est une constante, mais on comprend vite pourquoi. Outre qu'il joue le rôle de l'huile en faisant ressortir le galbe des muscles, il est également coloré et comme sur cette photo donne des effets très sensuels de bronzage. Ce musclor est presque un black sur une épaule et un coté du cul. Et en plus l'huile luisante coulant sur sa raie des fesses et ses reins est particulièrement sensuelle... Par contre, une question me vient à l'esprit : c'est un VRAI garagiste, vous croyez ?

Ahh l'univers mâle et viril des ateliers. Enfin une bite ! Et aussi un joli lot non ? La salopette baissée, debout devant son établi, ce beau mec exhibe fiérement son outil. Et sa jolie gueule est maculée de cambouis avec des traces sur le torse velu et le ventre. En plus sa peau dorée a l'air couverte de sueur : du pur fantasme, celui des travailleurs manuels...

C'est la même chose pour le beau gars suivant : la position est tout aussi explicite (exhibition entre mecs, concours de bite ou attente d'une pipe?) et le corps huilé et crade ajoute beaucoup à l'indécence bandante de la posture... Ben oui : il sent la bête, ce beau mâle...

Il en faut finalement pas beaucoup : une burette de cambouis, un petit tour à poil dans la poussière et hop. On a un garagiste en sueur et en rut prêt à se lacher dans le coffre d'une voiture ou sur le capot d'un camion...

Bon : feu d'artifice final. Je ne sais pas si ce sont trois garagistes. Mais par contre, c'est bien notre François Sagat national totalement à poil au centre... Crasseux, luisant de sueur, de pisse et de foutre, tout nu avec une bite dans le cul et une autre entre les lèvres. Et il faut bien dire que le voir ainsi en plein rut au milieu de deux musclés velus, et tout sale, et sentant le stupre et la bête, ben... c'est top bandant. Ah : c'est du propre, tiens !

(A SUIVRE...)