GOTIKUS EN VRAI - DENIS dans ma cave 1 - 12 avril 2012 - A poil dans l'escalier

12 avril 2012 - Il fait un peu frais dans ma cave, mais l'atmosphère humide n'est pas si désagréable... Je suis caché dans un des couloirs et j'écoute d'abord. La porte s'ouvrant, puis se refermant avec le verrou soigneusement poussé. Puis des pas dans l'escalier de pierre et ensuite le bruit de Denis se foutant totalement nu et rangeant ses fringues dans le sac de plastique disposé là pour ça au bas des marches... Et je me montre enfin : putain ! Denis est nu et pour mieux le mater, je le retourne et le pousse contre l'escalier poussiéreux qu'il vient de descendre. Et je le contemple pendant qu'il serre les fesses et se masturbe en écoutant les pas de mes voisins dans les parties communes de l'immeuble, au dessus de nous, derrière la porte bien fermée...

Je rectifie soigneusement sa postition : les pieds nus bien à plat sur les planches disposées là à son intention, les jambes écartées pour laisser baloter ses couilles pendantes et son gros sexe. Et bien entendu, les mains appuyées sur les marches... Je m'éloigne : Denis ne bronche pas. De loin, je regarde les couloirs sombres et abandonnés, comme un labyrithe de sous terrain ou de prison. Et au milieu, se tient le bas du corps nu d'un mâle en attente de saillie, penché en avant, présentant son cul aux visiteurs inconnus. Je peux même aperçevoir le gland de son chibre dressé à l'horizontale, obscène...

Je suis accroupi sur le sol, les mains agrippées aux belles cuisses musclées de Denis : et je le dévore. Le nez enfoncé dans ses poils, humant sa bonne odeur de mâle qui se mélange avec le parfum de terre et d'humidité de la cave, je léche les burnes pendantes, puis je remonte en direction de la rosette en me laissant guider par le parfum poivré de son anus. Le petite rondelle vibre sous ma langue et j'entends Denis accélérer le mouvement de sa paluche sur son sexe, ses pieds nus trépigner en faisant craquer la planche disposée au bas des marches... Le beau gars courbé en avant se retient pour ne pas grogner : au dessus de nous, on entends mes voisins monter les étages. Et en dessous d'eux je suis en train de brouter la raie poilue d'un mec totalement nu. Et ensuite, après avoir pris une photo, je me redresse et c'est ma bite raide et mouillée de désir qui s'enfonce dans la petite étoile exhibée ainsi sans pudeur...

Je l'ai sauté comme ça : à même les marches. Puis sentant que je ne pourrais pas me retenir de jouir, je me suis retiré. Denis retourné se retrouve assis cul nu sur la pierre poussiéreuse de l'escalier. Et il ouvre la bouche pour sucer le sexe encore tiède sorti de son cul tout en se masturbant...

Il léche, hume mes poils et aussi sans doute l'odeur de sa propre toison. Puis yeux fermés, en posant ses pieds nus bien à plat sur le bois de la planche, les jambes grandes ouvertes et en se massant la pine, Denis se concentre sur sa pipe et titille mon gland gonflé avec ses lèvres et avec la pointe de sa langue...

Je souffle de plaisir : il fait un peu frais et humide, mais c'est tellement excitant d'être comme ça dans la pénombre avec cette belle bête à poil devant moi, concentrée sur son taff de bonne chienne, suçant bien à fond de gorge la bite tout juste sortie de ses tripes, cul nu sur la pierre...

J'ai encore failli juter : en général le froid calme pourtant, non? Et donc, je me recule et mon sexe sorti de la bouche de Denis fait un plop amusant. Je relève le bel Alsacien fermement et je lui ordonne de mettre ses mains sur la tête. Une posture de soumission avec des airs de prisonnier qui va bien dans le décor, dégage ses aisselles odorantes et aussi mets son corps musclé en valeur. Pour une photo, bien entendu, mais aussi pour la plaisir de comtempler de loin ce grand gaillard obscène avec sa pine qui darde et mouille, tendue à l'horizontale comme la statue de chair d'une Priape...

Je laisse un peu Denis s'exhiber ainsi, puis je le fais se retourner. Nous sommes en avril et pourtant, l'Alsacien garde encore la trace blanche de son bronzage sur les fesses. Accentué par la trace de la poussière sur sa peau luisante de sueur. Sur les marches de l'escalier je vois l'empreinte de son cul et au milieu la tache humide de son sexe mouillant le sol pendant qu'il me suçait ou celle de son anus mouillé par mes crachats. Voir ainsi Denis marcher pieds nus sur la poussière blanche du sol en terre battue est très excitant et sensuel...

J'avais prévu le coup en l'attendant. Il n'y a plus de minuterie depuis des mois dans ma cave et certains boxes sont désormais ouverts et libre d'accès. Une vieille table en métal traînait dans un coin et installée non loin du puits de lumière formé par l'escalier donnant sur la cour arrière de l'immeuble, elle va être drôlement utile. J'attrape Denis par le sexe pour le faire avancer dans le couloir, puis le maintiens par la nuque avant de le faire basculer en arrière. Il pèse son poids, le musclé, mais la table est solide. Et maintenant je regarde ce mâle dans la pénombre, couché sur le dos, les pieds posés sur les grosses pierres des murs, la bite à la main, jambes écartées exhibant les poils de sa raie humides de salive et l'anus pile à la bonne hauteur. Denis se masturbe et a la tête en arrière, les yeux fixant le plafond bas. Au dessus de nous, nous pouvons ententre la vie de l'immeuble. Les portes qui claquent, les pas et les conversations rendent ce qui va suivre encore plus chaud et indécent. Et ce qui va suivre ? Ben je vais le sauter, le Denis. Comme ça, directement, couché sur la table et pattes en l'air. Comme vous le découvrirez dans deux jours...

(A SUIVRE...)