PHOTOS - A LA FERME - Gars des champs 4 - Hummm Damien Crosse

Promenons-nous dans les bois... Et hoooo ! On découvre soudain un beau rural dans un champs prêt à grimper dans un arbre... Torse nu, poilu, mal rasé et huilé de sueur : jusque là rien que de très normal, voire de banal, non ? Bon, je sais, il est particulièrement bien gaulé, c'est vrai, le sublime Damien Crosse... Et du reste, sa manière de grimper à l'échelle (une histoire de récolte de noix ?) est un peu... comment dire... provocante ? C'est vrai qu'en général un paysan allant gauler ses noix n'est pas forcément si bien gaulé lui aussi. Et surtout ne se cambre pas de la sorte... Mais pourquoi un ouvrier agriole ne pourait-il pas être tatoué et foutu comme un dieu, hein ? Ah, le racisme des citadins...

Et puis ensuite, il se retourne pour ouvrir la braguette de son jean moulant, porté à même la peau... et même se débarrasse de son pantalon, se retourne et offre son cul aux regards (ou autre) en exhibant d'une manière totalement impudique et obscène son anus moite... Joli trou de balle, non : plissé et serré au dessis d'un chibre modelé façon ogive. Ben peut-être qu'il se sentait trop serré dans son jean ? Ou alors il avait peur de se tacher : le broux de noix, c'est très salissant. Mais celà n'explique pas cette posture de chienne. Ni la rigidité de son... outil agricole ?

Bel outil du reste, non? Après l'examen de son trou de balle, Damien nous offre l'examen de sa virilité... Collé contre l'écorce rugueuse de l'arbre, il se touche à peine, se laisse caresser par la brise et les rayons du soleil. Ben je les trouve franchement veinards, la brise et les rayons du soleil. Et efficaces aussi à en juger par l'état de la bite à la verticale...

Ah il est chaud le bouseux, c'est clair. Et je dois dire que le retrouver descendu de son arbre, seulement vêtu de ses grosses pompes, agenouillé dans la lumière, mains sur a tête comme un prisonnier sous la menace de fusils... c'est déjà très bandant. Mais si on imagine le parfum fauve qui monte de ses aisselles poilues et humides et si on contemple l'érection de son sexe superbre dressé à la verticale : c'est encore plus chaud non ? Ah la campagne...

Ben oui : forcément. Il n'allait pas rester bêtement tout nu dans son pré, agenouillé sur son futal, à bander en solitaire... On entends au loin des bruits scandés, des grognements et des plaintes... Et on découvre notre beau mâle en rut dans un hangar, ou une écurie... En rut, et pas tout seul... Me demande si le valet d'écurie s'attendait à se retrouver ainsi foutu cul nu et à 4 pattes dans la paille comme un percheron ou plutôt une jument... Et à se faire ensuite saillir à la hussarde avec coups de reins (et de bite) brutaux et insultes humiliantes... Ah la campagne (bis)...

(A SUIVRE...)